15 trucs franchement dégueus qu’on faisait quand on était petits© Thinkstock
Enrouler une mèche autour de son doigt pour finalement la grignoter pendant que personne ne nous regarde. Un plaisir simple.
Sentir le goût du bois dans sa bouche, il n’y avait pas mieux. Enfin, jusqu’à ce que le crayon se désagrège et que l’on se retrouve à tousser des copeaux comme un bûcheron atteint de bronchite.
Mieux que les cheveux et le crayon réunis. Mastiquer son doudou et s’endormir avec l’odeur familière de notre bave à 2 centimètres de notre nez. La belle époque.
Faire des bulles avec un Malabar, c’était bien. L’enrouler autour de nos doigts sales avant de le remettre dans notre bouche, c’était vachement mieux.
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Marche aussi avec le bas du pull de maman et n’importe quelle nappe.
On notera aussi la manie de tout faire pour éviter de se laver les mains avant de passer à table. Si on sort des toilettes juste avant, c’est encore mieux.
Il y a ceux qui arrêtent en grandissant. Et puis il y a ceux qui continuent. Vous ne dupez personne, vous savez.
Vous aurez beau nier l’avoir fait, personne ne vous croira. Jamais.
Cette bonne époque où la souplesse de notre corps nous permettait de faire des trucs pareils est à jamais révolue. On ne sait pas si c’est une bonne ou une mauvaise nouvelle.
Parce qu’on n’était pas radines, on a toutes un jour partagé une sucette/glace/chewing-gum (déjà dans notre bouche) avec notre grande copine Lucie. Qu’on se le dise, aujourd’hui, Lucie n’accepterait pas forcément le cadeau.
Et tout faire pour que nos parents oublient qu’on n’a pas approché une savonnette depuis 48h. Marche surtout pendant les vacances.
Grain de riz, coquillette, caillou… Rien n’était trop gros pour résister à nos narines.
Ou sauter dans les flaques d'eau. Parce qu’il fût une époque où rentrer chez nous avec les chaussures trempées et/ou le collant déchiré ne nous donnait pas forcément envie de maudire la terre entière… et Dim.
Il n’y a pas de meilleure place pour les brocolis qu’à l’extérieur de notre bouche.
Le faire partout, tout le temps. Ah, cette époque bénie où la pudeur ne faisait pas forcément partie de notre style de vie.
