OSS 117 : 10 choses à savoir sur la saga avec Jean Dujardin© Séquence tirée de Rio ne répond plus
1. Les films « OSS 117 » de Michel Hazavanicius sont inspirés de romans d'espionnage éponymes écrits par jean Bruce dans les années 1950. Il en existe une bonne centaine et suivent les aventures de l'agent secret américain Hubert Bonisseur de La Bath.
2. Les romans de Jean Bruce passent pour avoir inspiré Ian Flemming lors de la création du personnage de James Bond dans le tout premier roman le mettant en scène, « Casino Royale ».
>> Alexandra Lamy : bientôt de retour avec Jean Dujardin au cinéma ? <<
3. Les romans « OSS 117 » ont également été adaptés en film dans les années 1960 et 1970.
4. Dans les films de Michel Hazavanicius, Hubert Bonisseur de La Bath n'est pas américain mais français.
>> Jean Dujardin : Thierry Ardisson impressionné par sa carrière <<
5. Avec ses propres « OSS 117 », Michel Hazavanicius a souhaité à la fois rendre hommage et parodier les films d'espionnage des années 1950 à 1960, notamment les « James Bond » avec Sean Connery, et plus largement les films avec Steve McQueen, Cary Grant ou Paul Newman.
6. « Le Caire, nid d'espions » se déroule dans un contexte historique précis, à savoir la crise du Caire, en 1955, suite au coup d'État de Nasser.
7. Certaines mises en scènes sont volontairement désuètes, afin de reprendre le genre des films des années 1950, comme les plans de conduite en voiture, filmés sur fond animé.
8. Jean Dujardin a tout particulièrement travaillé son jeu d'acteur, ainsi que son jeu de sourcil, afin d'imiter Sean Connery dans sa jeunesse.
9. « Tous les Allemands ne sont pas nazis » - « Oui, je connais cette théorie ».
10. De nombreuses répliques des deux films sont devenus cultes. On peut notamment citer « Comment est votre blanquette? », « Le gratin cairote », « Tu veux mourir Bramard ? Décapité ? Plumé ? Vidé ? », « J'aime me beurrer la biscotte », « Ces mamelons roses gorgés de vie » pour « Le Caire, nid d'espions » ; et, pour « Rio ne répond plus », « Sacré Hubert, toujours le mot pour rire », « C'est qu'ils sont récalcitrants, ces faces de quetsches », « C'est l'inexpugnable arrogance de votre beauté qui m'asperge », « Moi aussi je vais enfiler quelque chose de confortable », « Rechercher un nazi avec des juifs, quelle drôle d'idée », « Chou blanc, donc », « Je couds », « Les boules...de Noël » ou encore « Heinrich, un postiche ! »...et bien d'autres encore !
