Facebook : Mark Zuckerberg veut créer une ville pour ses employés

Publié le Mercredi 25 Février 2015
Facebook : Mark Zuckerberg veut créer une ville pour ses employés
Facebook : Mark Zuckerberg veut créer une ville pour ses employés
Mark Zuckerberg projette-t-il réellement de construire une ville pour ses salariés ? Selon une information du « Daily Mail », Marck Zuckerberg aurait d’ores et déjà engagé un architecte pour imaginer les plans de « Facebook City ».
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Son nom de code est pour l’heure Zee-Town mais elle pourrait aussi bien être baptisée Facebook City. En effet, selon une information du Daily Mail, le fondateur du réseau social aux millions d’abonnés prévoit de construire une ville destinée à accueillir ses 10 000 employés. Alors qu’il possède lui-même une villa située à seulement vingt minutes du siège de son entreprise à San Francisco, Mark Zuckerberg souhaite visiblement que ses collaborateurs, dont certains sont des anciens de la Maison Blanche, se rapprochent eux-aussi de leur lieu de travail.

Un projet à 200 milliards de dollars

Le coût du projet, dont la réalisation a été confié à l’architecte Frank Gehry – à qui l’on doit notamment le  musée Guggenheim de Bilbao et la  Fondation Louis Vuitton à Paris – est estimé à 200 milliards de dollars (soit 177 milliards d’euros). D’une superficie de 80 hectares, au bord de l’eau, Zee –Town comportera des rues et des routes, des supermarchés, des hôtels et des logements, brefs, toutes les structures indispensables à une petite agglomération. Les cadres se verront proposer de luxueuses villas, tandis que des dortoirs seront construits pour les stagiaires.

Au site The Independent, un porte-parole de Facebook a expliqué que l’objectif était de « favoriser l'innovation » en créant plus qu'un campus de recherche. « Nous avons compris que nous ne pouvions pas construire seulement un centre de recherches, il fallait que la communauté de nos employés y soit intégrée », a-t-il précisé. À noter que si le projet n’a pas été formellement confirmé, l’acquisition par Facebook d’un immense terrain industriel près de ses bureaux suffit à le rendre plausible.

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