Iris Mittenaere se révèle épanouie comme toujours sur ces photos en culotte et en lingerie qu'elle vient de révéler sur ses réseaux sociaux, afin de célébrer les fêtes. En dessous très sexy et un "Merry Christmas" bien en évidence, elle assume sa liberté de femme fière de sa sensualité.
Mais certains n'apprécient pas qu'elle aime son corps et ses formes. Et le font savoir.
Tant pis si on ne leur a rien demandé, ils en parlent quand même. L'ancienne Miss revendique sa confiance en elle et son sex appeal. Et c'est certainement cela qui semble tant effrayer les hommes.
"C'est la mode de se balader à moitié à poil ?", "Maquillage inadapté et tenue hyper courte qui n’a aucune classe", fustigeaient déjà les haters au-dessous de récentes publis que nous avions relayé sur Terrafemina. Même son de cloche sous les images à retrouver ci-contre. D'aucuns maugréent sur le corps de la jeune femme et son attitude soi disant "indécente".
Au secours.
Iris Mittenaere est naturelle et audacieuse sur ces photos en culotte et en lingerie. Quitte à déranger les réacs.
Qui y vont de leurs saillies habituelles : "C'est vulgaire sérieux", ose un internaute anonyme, alors que d'autres considèrent ses attitudes et tenues légères comme "indécentes". Le slut shaming est de mise dans les commentaires hélas. Vous savez, cette façon de juger la sexualité et les mœurs d'une femme en fonction de ses looks ou de ses comportements.
On vous épargne donc le pire. Mais les noms d'oiseaux et autres remarques d'un autre âge ne manquent pas sur les réseaux sociaux à son sujet.
Est-ce cela d'être une femme libre et heureuse dans son corps, en 2025 ? Toujours subir les mêmes réactions sexistes ?
En France, Zahia Dehar, a volontiers dénonce le slut shaming, justement, étrillant ainsi cette misogynie : "C'est un fléau de notre société, et qui n'est pas encore résolu ! On met les femmes dans des catégories et les femmes qui ont le malheur d’être dans cette catégorie de "mauvaises femmes", dans ces cas-là, la société leur fait payer un prix qui est énorme, qui est horrible"
Epiloguant avec beaucoup d'émoi : "Quand j'étais adolescente, j'avais envie de mettre des mini jupes. Mais alors que mon corps se formait, je sentais que la société commençait déjà à nous dire à nous les filles : faites attention ! vous n'avez pas intérêt à être une mauvaise fille ! une traînée, une dévergondée... Pourquoi tout ça c'est mal déjà ? Ceux-là mêmes qui t'insultent, ils ne savent pas pourquoi c'est mal !"
Beaucoup de femmes ont pu vivre la même chose. Et bien d'autres encore aujourd'hui.