On n'est pas couché : Natacha Polony quitte Ruquier et aimerait faire du Taddeï
Avouons-le, on a un peu de mal à la croire, la Natacha Polony. Mais qui peut savoir ? Même en télé, ces choses peuvent arriver : quitter de son plein gré une émission à succès sans garantie d’en retrouver une autre dans la foulée. En attendant, l’ex-jounaliste de Marianne et du Figaro, actuellement en charge de la revue de presse sur Europe 1, a bel et bien confirmé l’information : elle ne rempilera pas pour une nouvelle saison de « On n’est pas couché ». Et ce, sans avoir, martèle-t-elle, un nouveau point de chute sur le petit écran. «Je confirme que je pars, mais pour l'instant, je n'ai aucun projet, pas d'émission en vue pour la saison prochaine. Juste des envies», a-t-elle ainsi déclaré au site PureMédias.
Natacha Polony a passé « trois années formidables »
Et de préciser ensuite les raisons de son départ au micro de Jean-Marc Morandi : « Je préfère quitter l'émission avant d'être lassée, avant de me dire que je suis dans la facilité. J'ai passé trois années formidables, j'ai appris beaucoup. Il est maintenant temps d'aller vers de nouveaux défis. ». L’alter ego – ancrée à droite – du journaliste Aymeric Caron – marqué à gauche – sur le plateau de Laurent Ruquier – à la fois, asticoteur et juge de paix – en a, en outre, profité pour ne pas confirmer son arrivée prochaine au « Grand Journal » de Canal Plus. La rumeur voudrait qu’elle remplace Jean-Michel Aphatie. Sans fermer la porte, Natacha Polony s’est contentée de dire, elle, qu’elle n’était « pas au courant ».
« Une sorte de Ce soir ou jamais version Polony »
Enfin, comme la journaliste ne manque tout de même pas d’ambition, elle a lancé l’idée d’avoir enfin sa propre émission. Une évolution somme toute logique après trois ans à chroniquer et polémiquer pour Laurent Ruquier. Et de déclarer au micro de Europe 1 : « Dans mes plus beaux rêves, je voudrais faire une émission politique avec de la pédagogie, et des références culturelles. Une sorte de Ce soir ou jamais version Polony. » Avis donc aux amateurs et… producteurs de surcroît.
