


Des scènes de sexe et de nu à 50 ans, “une habitude” ? Cette actrice culte des années 2000 dévoile l’envers de ses tournages

Amanda Peet est une figure reconnaissable et attachante du cinéma américain des années 90 et 2000. Mon voisin le tueur avec Bruce Willis, Sept ans de séduction avec Ashton Kutcher - revisite légère et fun du classique de la rom com, Quand Harry rencontre Sally…

Etoile du cinéma hollywoodien d’alors, sex symbol, la comédienne a volontiers souffert de rôles stéréotypés auxquels elle devait faire face - ou qu’elle devait refuser - d’où une carrière en dents de scie. Cependant, 20 ans plus tard, c’est un autre enjeu auquel elle se confronte : la difficulté de se mettre à nu, littéralement, à la cinquantaine…

“J’ai dit au metteur en scène : dis moi tout. Qui dois je embrasser aujourd’hui ? Auprès de qui dois je me déshabiller ? Où dois je me mettre au juste ?”... Cela, c’est ce qu’évoque très librement Amanda Peet auprès de People. La star de grands succès d’hier (on la voit également dans le 2012 de Roland Emmerich) confesse la curiosité de son quotidien d’actrice lors de ces scènes jamais évidentes…

Et son travail nécessaire auprès des coordinatrices d’intimité. On la lit encore : “J’ai l’habitude de ce genre de scènes en fait. Il m’arrive de rencontrer sur le tournage la coordinatrice et de lui demander : j’ai une scène de sexe aujourd’hui non ? Ah c’est quelqu’un d’autre ?...”, énonce Peet avec sérénité.























