"Dans certains États, notamment aux États-Unis, un consentement écrit est exigé....".
Dans un avis publié le 29 mars dernier, le Comité tient à ce que soit redéfinie la notion de consentement. Plus précisément, celui-ci devra désormais être "explicite" au cours des examens médicaux. En somme, que le consentement médecin/patiente ne soit plus tacite.
Vice-présidente du Comité consultatif national d'éthique (CCNE), la professeure Karine Lefeuvre détaille la chose du côté de franceinfo : "On recommande que le consentement soit explicite, différencié, qui se recueille en plusieurs temps. Donc un consentement 'exprès'"