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Après #DALS, Inès Reg veut sensibiliser au harcèlement

Publié le Lundi 29 Avril 2024
Clément Arbrun
Par Clément Arbrun Journaliste
Passionné par les sujets de société et la culture, Clément Arbrun est journaliste pour le site Terrafemina depuis 2019.
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"Ecoute-moi bien...". Après "l'aventure" Danse avec les stars et la "polémique Natasha St Pier", Inès Reg fait son retour en tant que comédienne dans un téléfilm... Sur le harcèmement.
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Comment envisager la suite d'une expérience à la fois éprouvante physiquement, et psychologiquement ? C'est ce qu'a du se demander Inès Reg. L'humoriste se remet à peine du "scandale" qui a bousculé la dernière saison de "Danse avec les stars", une aventure marquée par ses chorégraphies impressionnantes certes, mais aussi par le "clash" qui l'a confrontée à Natasha St-Pier, sur fond de répliques assassines ("Ecoute-moi bien, petite salope").

La comédienne de 31 rétorque à cela en rappelant, par-delà les danses, ses talents de... Comédienne, justement. Effectivement, Inès Reg fera son come back devant les caméras, et toujours sur la première chaîne. On va la retrouver au devant d'un téléfilm de TF1 courant 2025. Et le sujet ne semble pas anodin puisque cette fiction portera... Sur le harcèlement. Et plus précisément : sur le harcèlement scolaire.

Un tabou qui semble lui tenir à coeur...

"A l'école, on m'appelait la naine"

Tout ce que l'on sait sur ce téléfilm diffusé l'an prochain, c'est que son tournage débutera au mois de juin, et qu'il répond au mystérieux nom de "Ado mais pas trop". Mais aussi, qu'il sera en deux parties, de 52 minutes chacune. Ce n'est pas tout : Télé Star nous apprend qu'Inès Reg s'est beaucoup investie durant le tournage, puisqu'elle a notamment rencontré des victimes de harcèlement scolaire pour mieux comprendre leur vécu.

Au Parisien, Inès Reg en dit plus sur les raisons profondément intimes de cet engagement personnel. Et ca brise le coeur. On la lit : "A l'école, on m'appelait la naine, on me donnait du Mimie Mathy 24 heures sur 24, on me mettait des choses en hauteur pour que je ne puisse pas les attraper, ça a été très compliqué à vivre. J'ai eu la chance d'avoir une maman à qui je disais tout. C'est important de ne pas se replier sur soi"

Selon les chiffres du gouvernement, 2,6 % d'élèves subiraient en France une "forte multivictimation" qui peut être apparentée à du harcèlement scolaire, et ce dès le stade du CM1-CM2. 5,6 % des collégiens en sont victimes, ainsi que 1,3 % des lycéens. C'est glaçant.