François Hollande et Valérie Trierweiler : pas de séparation pour le couple ?

Publié le Vendredi 24 Janvier 2014
François Hollande et Valérie Trierweiler : pas de séparation pour le couple ?
François Hollande et Valérie Trierweiler : pas de séparation pour le couple ?
Dans cette photo : François Hollande
Le feuilleton Hollande-Trierweiler continue, et semble être entré dans une phase de négociation difficile entre le Président et la « première dame », qui aurait bien l'intention de le rester, selon les révélations de VSD ce vendredi.
À lire aussi


Valoche s'accroche. Si l'on en croit VSD (édition du 24 janvier), qui cite une source proche du couple, la première dame n'aurait pas du tout l'intention de se faire souffler sa place à l'Elysée, quitte à insister et faire plier son infidèle compagnon.

>>Valérie Trierweiler humiliée : elle peut devenir "ingérable" dans ses moments de faiblesses<<

Pardonner et se rabibocher ?

Cette improbable scénario pourrait se produire selon cette source : « Jusqu'ici il pensait pouvoir acter une séparation mais il vient de comprendre que ce ne serait pas si simple. Valérie compte s'accrocher. Je le connais. Il est en train de céder. » Déjà il y a quelques jours on rapportait que Valérie Trierweiler était « prête à pardonner », alors que François Hollande avait attendu 5 jours pour lui rendre visite à l'hôpital de la Pitié-Salpetrière, et que Julie Gayet faisait la Une de tous les journaux. 

Elle voulait assister aux voeux, il n'a pas voulu

D'après les derniers commentaires de Closer, qui a révélé toute l'affaire au grand jour le  janvier, leurs relations seraient « glaciales », et Valérie bien seule à y croire encore. Elle aurait demandé sans succès à assister aux voeux du président le 14 janvier, et aux voeux adressés aux régions, en Corrèze. En face, François Hollande « désirait une rupture car la situation de son couple se dégradait depuis longtemps », écrit VSD.

La première dame irait-elle jusqu'au chantage?

C'est en tout cas ce que sous-entend VSD, en rappelant que Valérie Trierweiler dispose d'un moyen de pression notoire « en un an et demi passé aux côtés du Chef de l'Etat, elle a été témoin de petits et grands secrets de la République ». On préfère ne pas la croire prête à tomber si bas. Mais toujours selon VSD, la journaliste ne serait plus si seule à y croire : une petite guerre se jouerait dans les couloirs de l'Elysée entre les pros-Valérie et les antis, les partisans de la réconciliation et de la séparation. « Entre les équipes du chef de l'Etat et de la première dame, la guerre fait rage. Celui qui maîtrisera la com' gagnera la partie.» Certains conseillers se seraient par ailleurs retourné en faveur d'un rabibochage. Y croire c'est une chose, mais le faire croire constituera une sacrée performance de communicant.