Valérie Trierweiler : quel avenir pour l'ex-première dame ?

Publié le Lundi 27 Janvier 2014
Valérie Trierweiler : quel avenir pour l'ex-première dame ?
Valérie Trierweiler : quel avenir pour l'ex-première dame ?
Dans cette photo : Valérie Trierweiler
15 jours après les révélations de Closer sur la relation entre François Hollande et l'actrice Julie Gayet, Valérie Trierweiler se retrouve congédiée de l'Élysée. À nouveau célibataire et sur le marché du travail, quelles portes vont s'ouvrir pour la « première ex de France » ? Revue des possibles reconversions…
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« Je ne sais pas comment j'envisage ma nouvelle vie, en tout cas je l'imagine bien ». Valérie Trierweiler joue la carte de l’optimisme après sa rupture éclair avec François Hollande et alors qu’elle est encore en pleine tourmente politico-médiatique. Journalisme, politique, consulting : la nouvelle « ex-première dame » a certes plus d’une corde à son arc. Reste à déterminer celle qu’elle voudra exploiter.

Retour à ses premières amours : le journalisme et Paris Match ?

Journaliste un jour, journaliste toujours ? Lors de l’investiture de François Hollande en 2012, Valérie Trierweiler se rêve en « première journaliste » plus qu’en première dame. Cruelle désillusion : si elle a pu continuer en pointillé son activité professionnelle, la compagne de François Hollande se voit cantonnée à une chronique littéraire par semaine dans les pages de Paris Match. Finis les papiers politiques maintenant qu’elle la vit de l’intérieur… Elle qui avait également abandonné sa collaboration avec la chaîne D8 après l’élection présidentielle va enfin pouvoir revenir à ses premières amours. Il se murmure d’ailleurs qu’Oliver Royan, directeur de Paris Match, a fait savoir à Valérie T. que la rédaction l’attendait les bras grand ouverts.

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Consultante ès première dame

Image désuète, rôle flou voire inexistant, sujet à tensions et polémiques, le statut de première dame est définitivement voué à évoluer. Alors qu’il n’a pas d’existence juridique, les précédentes femmes et compagnes de présidents ont dû composer avec ce fauteuil peu confortable. Dernière en date donc : Valérie Trierweiler, qui durant 19 mois a tenté tant bien que mal de s’y installer… Quelques errements, bad buzz , « tweetgate » et une rupture plus tard, elle fait ses valises et quitte sans autre forme de procès l’Élysée et son siège éjectable de « first girl friend ». Il va sans dire que l’ex-compagne de François Hollande a certainement son petit avis sur le poste de première dame. Et qu’alors que selon un sondage BVA réalisé pour Le Parisien, 54% des Français ne souhaitent ni statut de la première dame de France, ni de moyens pour celle-ci, elle pourrait être d’une grande aide pour guider sa successeure dans les arcanes du pouvoir. Sans pour autant pousser le vice jusqu’à l’imaginer en conseillère avisée auprès de Julie Gayet.

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Auteure à succès

Célibataire et provisoirement sans job fixe, l’ex-première dame pourrait bien mettre à profit ses talents de rédactrice et son temps libre pour écrire quelques pages bien senties sur son actuelle expérience. Héroïne malgré elle depuis deux semaines d’un feuilleton politico-people qui passionne les foules, elle aurait tort de ne pas profiter de cette source d’inspiration immédiate pour livrer dans les mois qui viennent une version croustillante et salée des faits… Une chose est sûre, il faudra compter avec elle dans les prochains mois : Valérie Trierweiler elle-même l’a déclaré lors d'une visite d'un hôpital de Bombay, « j'étais là avant, je serai là après ».