





Lors d’une conférence de presse après sa condamnation pour violences conjugales, Stéphane Plaza a choqué le public : “C’est bien la première fois que je suis content qu'elle soit (ndlr : sa mère) soit morte.” Une phrase brutale, mais sûrement maladroite, pour expliquer que la situation est très difficile pour son père de 92 ans et qu’il préfère que sa mère n’assiste pas à ça.
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Sur Instagram et TikTok, les réactions ne se sont pas fait attendre : les fans consternés, se disant “dégoûtés” et soulignent un manque d’empathie et une parole qui dépasse les limites : “et sinon la coc' trouvée chez lui qui expliquerait un comportement violent, c'est un coup monté ?”, “il n’a que ce qu’il mérite”, “Pff, il va nous faire chialer... Et les femmes que tu as insultées et à qui tu as cassé les doigts, ouais, heureusement que ta mère ne voit pas ça, c'est clair... Pauvre ouin ouin... Va faire une thérapie au lieu de jouer les victimes”, désolé, mais il n’est pas là par hasard”, “il veut se faire passer pour la victime”.
D’autres, clament haut et fort leur soutien et crient à un coup monté : “Franchement, on a assisté à la mise à mort de quelqu’un, je suis de tout coeur avec cet homme”, “ils sont en train de l’enterrer vivant ! Pauvre homme, c’était ma joie de vivre, il me manque terriblement”, “une honte ce qu’ils ont fait, je suis même sûre que les femmes ont été payées pour porter plainte”, “je comprends très bien cette déclaration, sa mère n’aurait pas supporté cette situation”.
Une conférence de presse qui intervient après sa décision d’assigner l’Etat en justice pour “dysfonctionnement grave de la justice”. Selon l’ex animateur vedette de M6, son procès aurait été truqué par le parquet de Paris. Pour rappel, il a été condamné en février dernier à 1 an de prison avec sursis pour violences récurrentes sur une ancienne compagne.
Depuis son procès et sa condamnation, Stéphane Plaza a été placé en garde à vue, puis relâché, dans l’enquête pour trafic de stupéfiants et pour usage de stupéfiants. Il doit payer une contribution citoyenne (verser de l’argent à une association d’aide aux victimes) de 3000 euros.