Gatsby Le Magnifique : cinq raisons de ne pas manquer le film star de Cannes
Comparer avec les autres versions :
Vous avez surement vu à la TV, cinéma ou au théâtre une adaptation du roman Gatsby le Magnifique, aujourd’hui sera le moment de comparer et de découvrir quelle adaptation vous a le plus séduite et colle le mieux au roman. Si vous n’avez lu que livre vous pourrez toujours comparer le Gatsby de Fitzgerald à celui de Luhrmann en 3D, ou tout simplement le découvrir à travers le film.
Que le meilleur gagne !
Pour les années folles :
Le style des années 20 fait son grand retour : robes courtes à paillettes, froufrous ou à franges, plumes et bijoux dans les cheveux, coupes courtes ou carré… à travers ce film c’est l’occasion de replonger dans ces années de prohibition.
Pour la musique :
Baz Luhrmann vous a concocté une bande originale, sur laquelle il a travaillé pendant 2 ans avec le rappeur Jay-Z pour se conformer au jazz des années 20 et à la musique de notre époque : « Le roman de F. Scott Fitzgerald est truffé de références musicales propres à son époque […] Notre public vit dans « l’âge hip-hop » et il veut sentir l’impact de la musique moderne ».
Voir Léonardo DiCaprio avant sa retraite :
Sans nul doute le meilleur acteur de sa génération, Leonardo DiCaprio avait récemment déclaré qu’il allait faire une pause et s’éloigner du cinéma, pour se consacrer à la cause environnementale : « Je suis un peu lessivé. Je vais maintenant prendre une longue pause.je voudrais améliorer le monde, en multipliant les actions pour l’environnement. » Après le film de Scorsese « The Wolf of Wall Street », l’acteur disparaitra donc de nos écrans. On vous aura prévenu.
Nouveau film de Baz Luhrmann :
Depuis Australia (2008) avec Nicole Kidman et Hugh Jackman, qui eut un succès mitigé, le réalisateur australien Baz Lurhmann signe son grand retour avec ce film événement. Le cinéaste qui a toujours un goût pour moderniser certains classiques comme Roméo et Juliette et sa vision rock de Moulin Rouge, rassure les littéraires de la « Génération perdue » : « Toutes mes décisions, tous mes choix viennent du livre. Mon film n’est qu’une transposition, la plus fidèle à l’esprit fitzgeraldien. »
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