Nabilla : à 3000 euros la minute, le cours de la bêtise s’envole
En ces temps merveilleux où les starlettes de la téléréalité sont devenues d’incontestables people, qu’elles tiennent la dragée haute en termes de popularité aux grandes dames du 7e art, l’anecdote est savoureuse. Qu’on se le dise donc, la célèbre Nabilla vaut deux fois plus que les autres, ses bourdes pour être plus précis. C’est l’aveu troublant formulé, dimanche 22 décembre, par François Viot, journaliste à Télécâble Sat Hebdo lors de l’émission « Les dessous de l’écran » sur RTL. Ce dernier, revenant sur les marronniers télé de fin d’année, lâche ainsi cette bombe : « Le bêtisier, ça coûte cher, ça coûte très cher. À peu près entre 1000 et 1500 euros la minute (...) La minute de Nabilla, ça coûte deux fois plus cher : 3000 euros. » Stupeurs et tremblements.
« Non, mais allo quoi ! », le début de la grande épopée
Car, celle qui fut à l’origine de la désormais mythique expression « Non, mais allo quoi ! », marque désormais déposée à l’INPI (pas folle la guêpe). Oui, celle-là même qui se tire la bourre continuellement avec son ex-nouvelle meilleure amie Ayem et qui possède sa propre émission « Allô Nabilla » (ça ne s’invente pas). Oui enfin, celle que tout le monde considère comme la bimbo ultime et qui rivalise sans mal, rayon punchlines, avec le gangsta rappeur de Boulogne-Billancourt, Booba. Oui, cette Nabilla-là, il faut se faire une raison, attire grandement le chaland. Et d’autant plus dans le cadre si truculent d'un bêtisier. En la matière, il est vrai que la dame est passée maître, on en compte plus ses « bêtises » télévisuelles. Autant de boulettes qui s’achètent en pièces sonnantes et trébuchantes. Résultat, « TF1 a cassé sa tirelire pour son bêtisier de Noël en achetant du Nabilla », conclut François Viot.
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