Laurent Romejko a peur de certains de ses fans

Publié le Mardi 27 Janvier 2015
Julie Legendart
Par Julie Legendart Journaliste
Laurent Romejko a peur de certains de ses fans
Laurent Romejko a peur de certains de ses fans
Dans cette photo : Laurent Romejko
Aux commandes des « Chiffres et des Lettres » depuis plus de 20 ans, Laurent Romejko est suivi depuis toutes ces années par une grosse communauté de fans. Problème, certains sont si insistants et menaçants qu’ils inquiètent l’animateur de France Télévisions.
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« J'ai toujours un peu les jetons de la personne qui m'écrit dix-sept fois par semaine, qui est un petit peu insistante, qui m'inclut dans sa vie privée. J'en ai pas beaucoup, mais j'en ai deux-trois qui m'écrivent très très souvent ». Ce sont les mots de Laurent Romejko. Invité mercredi de l’émission radiophonique de Philippe Vandel, « Tout et son contraire » sur France Info, l’animateur des « Chiffres et des Lettres » et de « Météo à la carte » sur France 3 s’est livré à quelques confidences sur ses fans.

« C’est surréaliste. Je ne suis jamais allé chez cette femme »

S’il reçoit de nombreuses lettres touchantes de la part de ses admirateurs, certaines, en revanche, ont le don de donner des sueurs froides au quinquagénaire, souvent présenté comme le gendre idéal. « Je fais un peu partie de la famille (des téléspectateurs, ndlr.) », a concédé l’animateur, avant de raconter que téléspectatrice lui avait déjà reproché de ne pas avoir « fini le gâteau ». Et d’ajouter : « C’est surréaliste. Je ne suis jamais allé chez cette femme. Je n’ai donc jamais commencé le gâteau et je ne compte pas y goûter ».

Laurent Romejko a par ailleurs avoué avoir eu réellement peur pour sa sécurité. «  Un téléspectateur a commencé à m’envoyer des courriers tout à fait amicaux, puis de plus en plus fréquents, de plus en plus insistants et finalement menaçants », raconte-t-il. Pire, il a même déjà été contraint de déposer plainte « suite à la réception d’un courrier anonyme avec un poignard dedans. Ça fout un peu les jetons », assure-t-il. C’est le moins que l’on puisse dire...