Hugo Becker, Romain dans "Chefs", a joué dans "Gossip Girl"

Publié le Mercredi 18 Février 2015
Julie Legendart
Par Julie Legendart Journaliste
Hugo Becker, Romain dans "Chefs", a joué dans "Gossip Girl"
Hugo Becker, Romain dans "Chefs", a joué dans "Gossip Girl"
Révélé au grand public français grâce à son rôle dans la série « Chefs » actuellement diffusée sur France 2, le visage d’Hugo Becker était déjà connu des fans de « Gossip Girl », fiction américaine dans laquelle il a tenu un rôle.
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Depuis le 11 février dernier, France  2 diffuse Chefs, sa série événement qui suit le quotidien d’une brigade d’un restaurant gastronomique. L’occasion pour les téléspectateurs de la chaîne de (re)découvrir Hugo Becker, comédien de 27 ans originaire de Metz  qui  prête ses traits à Romain, un petit escroc qui a rejoint l’équipe de cuisiniers dans le cadre de l’aménagement de sa peine de prison. « J’aime les personnages avec des faiblesses, surtout quand on va les deviner par petites touches et parfois par explosion. Romain, c’est ça, ça bouillonne en lui et il doit se contenir », a-t-il ainsi confié au journal Le Parisien.

« Ma crainte, c’est qu’on me cantonne à un type de personnage »

Mais certaines auront également reconnues dans ce jeune acteur, l’interprète du prince Louis Grimaldi qui avait fait chavirer le cœur de Blair Waldorf dans la série américaine Gossip Girl. Des rôles très opposés qui, selon Hugo Becker, font toute la magie de son métier. « J’ai toujours été très curieux avec l’envie de tout faire, j’avais trouvé le moyen de toucher à tout. Ce métier permet toutes les passions et donne l’illusion d’avoir plusieurs vies », confie celui qui a vient d’être élu Meilleur espoir masculin, au festival de Luchon, une cérémonie qui récompense les meilleures œuvres télévisuelles.  « Ma crainte, c’est qu’on me cantonne à un type de personnage », avoue-t-il. Et de conclure : « Mais je crois que cela ne dépend que de toi de ne pas aller vers l’argent. Après la série américaine, si j’avais voulu faire quinze fois le même rôle, j’aurais pu ». Mais alors, la fiction portée par Clovis Cornillac n’aurait pas eu la même saveur.