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"Un jour, je serai passée de date" : Apolline de Malherbe tacle l'âgisme de la télé

"Un jour, je serai passée de date" : Apolline de Malherbe tacle l'âgisme de la télé
"Un jour, je serai passée de date" : Apolline de Malherbe tacle l'âgisme de la télé
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© Abaca
"Un jour, je serai passée de date" : Apolline de Malherbe tacle l'âgisme de la télé
"Un jour, je serai passée de date" : Apolline de Malherbe tacle l'âgisme de la télé
La journaliste de BFM TV et de RMC s'est exprimée auprès du magazine Elle sur un sujet qui l'interroge : vieillir, et surtout, vieillir au sein du "PAF".

"Vieillir physiquement me préoccupe", déplore l'intervieweuse.

Qui l'assure sans détour : "Une vieille journaliste, on lui fait moins souvent signe".
Entre les lignes, Apolline de Malherbe fustige l'âgisme, ces discriminations dont sont victimes les personnes, et notamment les femmes, une fois passé le cap de la quarantaine.
La journaliste observe une différence de traitement indéniable entre "une vieille journaliste", invisibilisée, et "un vieux journaliste" qui à l'inverse "fait chic".
"J'espère travailler le plus longtemps possible, parce que j'ai la chance d'aimer mon métier", assure cependant la personnalité médiatique.
Demeure une vraie appréhension des femmes journalistes, passé un certain âge, à perdurer dans le petit monde télévisuel
"J'aspire à vieillir", affirme cependant l'intervieweuse.
"Je suis vieille et je vous emmerde" : Laure Adler aussi avait poussé un coup de gueule contre l'âgisme