Si beaucoup de femmes trompent leurs maris, c'est pour... sauver leur mariage (une étude le dit)

Du coup, explique Susan Shapiro Barash, l'adultère peut être vu dans ce cas-là comme une manière d'exprimer son insatisfaction, ses désirs non satisfaits (jusque là aucun scoop) mais aussi comme un "outil de renégociation du mariage"...

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Selon l'autrice américaine Susan Shapiro Barash, beaucoup de femmes qui trompent leur mari le font... Oui oui. Ca paraît très paradoxal.

Dans le cadre d'interviews, plusieurs femmes ont révélé à l'autrice qu'elles ont expliqué à leurs propres maris que le fait de les avoir trompés pouvait les instruire sur "ce qu'elles appréciaient et ce qui manquait à leur mariage, des choses qu'elles souhaitaient retrouver dans leur relation".

Autrement dit, une manière peut être un brin brusque de rediriger la relation vers une voie qui pourrait être plus épanouissante pour tous. Avouer la tromperie permettrait ainsi "de raviver la passion".

Et c'est pour cela d'ailleurs que les femmes seraient de plus en plus nombreuses à avouer cette tromperie. "Pour ces femmes, dire la vérité était une façon de dire : Voici ce dont j'ai besoin et que je n'obtiens pas", affirme l'experte au média en ligne.

"Ses découvertes remettent également en question l'idée fausse et pourtant courante selon laquelle les femmes ne donnent pas la priorité à leur sexualité", analyse en retour Insider.

Preuve en est que même au temps des couples remodelés, du polyamour et des "relations libres", ce thème-là suscite encore polémiques, discours et réflexions stimulantes.

Selon l'experte, les femmes qui trompent leurs maris sont âgées de vingt à quatre-vingt ans, et proviennent de milieux sociaux très différents étaient diplômées ou non, vivent dans tous les recoins des Etats-Unis. C'est vaste.

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