Rejoignez-nous sur les réseaux sociaux
Société
Féminisme
LGBTQI
Environnement
Politique
Monde
People
Buzz
Culture
Cinéma
Spectacles
Séries
Médias
Livres
Musique
Job
Trouver un job
Carrière
Monter sa boîte
Parentalité
Grossesse
Bébé
Ados
Bien-être
Sexo
Couple
Psycho
Santé
Forme
Nutrition
Lifestyle
Mode
Beauté
Food
Déco
DIY
TF Originals
Interviews Girl Power
Portraits
Les Audacieuses

Pourquoi la nouvelle "loi transgenre" fait débat en Espagne

Et sans diagnostic médical ou psychologique préalable, ou traitement hormonal.
Et sans diagnostic médical ou psychologique préalable, ou traitement hormonal.
News essentielles maladies sexisme Santé Société
Retour article : Pourquoi la nouvelle "loi transgenre" fait débat en Espagne
© Adobe Stock
Pourquoi la nouvelle "loi transgenre" fait débat en Espagne
Pourquoi la nouvelle "loi transgenre" fait débat en Espagne
"Ley trans", c'est le nom d'une proposition de loi espagnole qui clive, et dont les derniers amendements seront discutés au Parlement le 7 novembre prochain
Cette loi autoriserait toute personne à procéder à un changement de sexe dès l'âge 16 ans, sans nécessiter l'autorisation de quiconque.
Et sans diagnostic médical ou psychologique préalable, ou traitement hormonal.
La ministre de l'Egalité espagnole Irene Montero est enthousiaste : "Les personnes trans cesseront enfin d'être considérées comme malades en Espagne".
Cette initiative à l'adresse des plus jeunes est soutenue au sein du gouvernement, notamment par les représentants du parti Podemos

"Il était temps ! Les personnes trans étaient jusqu'ici stigmatisées comme étant des malades mentales, discriminées, marginalisées", s'est réjouie la militante LGBTQ Mar Cambrollé

Cependant, une enquête de l'institut de sondage Sigma Dos affirmerait que 65% des Espagnols estiment ce nouveau droit "problématique". L'âge n'y est pas sans rapport.
Mais du côté des associations, l'humeur est positive. D'autant plus dans un système où la transphobie n'est pas rare.
"La communauté LGBT a bien trop attendu. Il s'agit de leur donner des droits, et d'en enlever à personne d'autre", soutient cependant Irene Montero.