Rejoignez-nous sur les réseaux sociaux
Société
Féminisme
LGBTQI
Environnement
Politique
Monde
People
Buzz
Culture
Cinéma
Spectacles
Séries
Médias
Livres
Musique
Job
Trouver un job
Carrière
Monter sa boîte
Parentalité
Grossesse
Bébé
Ados
Bien-être
Sexo
Couple
Psycho
Santé
Forme
Nutrition
Lifestyle
Mode
Beauté
Food
Déco
DIY
TF Originals
Interviews Girl Power
Portraits
Les Audacieuses

Un salarié peut-il être licencié s'il n'est "pas assez drôle" ?

Il a été convenu que son licenciement avait été causé par "l'exercice de sa liberté d'opinion et d'expression" et son "comportement critique" au sujet de ces apéros forcés.

Il a été convenu que son licenciement avait été causé par "l'exercice de sa liberté d'opinion et d'expression" et son "comportement critique" au sujet de ces apéros forcés.

News essentielles justice Société Viol Violences alcool féminicide violences sexuelles
Retour article : Un salarié peut-il être licencié s'il n'est "pas assez drôle" ?
© Adobe Stock
Un salarié peut-il être licencié s'il n'est "pas assez drôle" ?
Jim (John Krasinski), le personnage sarcastrique dans la série The Office
Un salarié peut-il être licencié s'il n'est "pas assez drôle" ?
Un employé français désigné sous le nom de M. T aurait été licencié... Pour ne pas avoir participé à la "culture d'entreprise amusante" de sa boîte.

L'employé aurait notamment été licencié pour avoir refusé la "nécessaire participation aux séminaires et aux pots de fin de semaine"
Heureusement, l'employé en question aurait finalement obtenu une indemnité de son ancien employeur, suite à un jugement de la Cour de cassation.

Il a été convenu que son licenciement avait été causé par "l'exercice de sa liberté d'opinion et d'expression" et son "comportement critique" au sujet de ces apéros forcés.
Quand bien même le motif officiel évoque une "incompétence professionnelle".
Il serait question d'une "alcoolisation excessive" et banalisée, imposée et "fréquente", fortement encouragée par les associés mettant à disposition des bouteilles.
Des sources de "promiscuité, de brimades et d'incitation à divers excès et dérapages", selon l'arrêt de la cour de cassation.

L'employé en question travaillait alors pour Cubik Partners, un cabinet de conseil intervenant dans le domaine médico-social.
Il évoque quant à lui évoque un "alcoolisme excessif".