Quand Julie Gayet donnait son avis sur la fidélité

Publié le Vendredi 24 Janvier 2014
Quand Julie Gayet donnait son avis sur la fidélité
Quand Julie Gayet donnait son avis sur la fidélité
Dans cette photo : Julie Gayet
Si aujourd’hui, Julie Gayet garde le silence sur la question des relations amoureuses, il n’en a pas toujours été ainsi. En novembre 2007, à l’occasion de la sortie du film « Un baiser s’il vous plait », elle donnait ainsi son avis à Madame Figaro sur la notion de fidélité.
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Le film d’Emmanuel Mouret, « Un baiser s’il vous plait », narrait l’histoire d’une femme mariée qui trompait son époux. A l'époque, sur le plan privé, l’actrice Julie Gayet venait de divorcer avec son mari, le cinéaste Santiago Amigorena, lequel avait notamment joué dans « La Révolution sexuelle n'a pas eu lieu ». Au cours de cet entretien promotionnel prémonitoire, elle confiait notamment : « L'amour arrive de façon complètement inopinée, alors qu'on avait la tête ailleurs ». En effet, dans le film, Stéphane Guillon interprétait Paul, un écrivain spécialisé dans les oraisons funèbres, alors que Julie jouait la veuve d’un défunt. Devinez le reste. Mais devant « Madame Figaro », l'actrice a aussi argué assez justement : « la notion de fidélité est différente pour chacun ».

« À partir de quand est-on infidèle ? »


Jouant pleinement le jeu de l'interview, Julie Gayet s'étend donc sur le sujet avec une indéniable profondeur : « À partir de quand est-on infidèle ? À partir du moment où l'on y pense? En embrassant? Quand on couche? Quand franchit-on la frontière? Évoquer la possibilité d'être infidèle si l'occasion, l'herbe tendre, se présente, c'est déjà admettre que l'on est moins amoureux de la personne avec qui on partageait sa vie. On a alors le choix entre parler à l'autre et se mentir à soi-même, rester ou partir. De toute façon, il faut éviter les jeux dangereux ». Un peu plus de six ans plus tard, la Maison Blanche apprécie-t-elle  ces « jeux dangereux » ? En effet, ils n’ont toujours pas de plan de table pour la visite présidentielle du 11 février.