





Meghan Markle réveille les haters.
Pour des raisons concrètes : une récente enquête alimentée par de nombreux témoignages accablants dépeint effectivement l'ex Duchesse de Sussex comme une patronne despotique, pour ce qui est de l'organisation inhérente à son podcast Archetypes, que la principale concernée décrit comme une émission féministe.
Aux antipodes de ces intentions progressistes, des employés évoquent une femme d'affaires tyrannique, à l'attitude intempestive et aux accès d'autorité engendrant systématiquement rixes professionnelles et burn out de ses subalternes.
Mais la plupart du temps, cette détestation en ligne demeure intrinséquement sexiste.
Preuve en est ? La récente apparition de "Meghan"... Au concert historique de Beyoncé.
"On en a marre d'elle", "STOP", "Elle ne devait pas rester discrète ?"
Burn out, cyber harcèlement, fatigue mentale, critiques virulentes relatives à son rapport à la famille royale... Pour de nombreuses raisons, Meghan Markle a revendiqué une tranquilité nécessaire dans ses récentes interviews et communiqués sur les réseaux sociaux, histoire de se libérer d'une charge médiatique disproportionnée. Mais certains internautes jugent donc antinomiques ses nombreuses apparitions publiques, qui iraient à l'encontre de cet apaisement recherché.
Comme si l'ex Duchesse n'avait plus le droit à l'éclat des flashes.
Même lorsqu'elle "s'ambiance" à Los Angeles, en plein concert de Queen B...
"C'était un concert incroyable et très amusant", précise Meghan Markle dans une publication Instagram abondamment likée. Mais également, vivement critiquée sur les réseaux sociaux, d'aucuns exprimant de la malveillance à son encontre. Un simple prétexte pour faire résonner l'ire populaire.
Ainsi les lecteurices de Gala s'en agacent en abondance : "Je croyais qu'elle exigeait de l'intimité ?", "Heureusement qu'ils doivent divorcer", "Son mari est vraiment son toutou", "C'est vraiment sympa comme opération de com'", "C'est la pire voix à médiatiser".
On observe que l'animosité des férus de quolibets "royaux" à l'égard de Meghan et Harry est tout sauf de l'histoire ancienne. Au contraire, cette aversion s'exacerbe. Cela a fait l'objet de multiples rapports, très sérieux, révélant le cyber harcèlement engendré par les mentions de Meghan Markle et Prince Harry sur les réseaux sociaux. Markle compterait parmi les personnalités féminines les plus détestées, et insultées en ligne, en compagnie de stars comme Amber Heard.
Une misogynie qu'il ne faut pas ignorer.