





Sydney Sweeney écrit sa légende mois après mois.
Entre autres mille et un films annoncés jusqu'en 2026, oscillant de l'horreur viscérale à la transposition de best seller destiné aux férus de BookTok (La femme au foyer), la révélation incendiaire de la série choc Euphoria, va incarner Kim Novak, icône du glam hollywoodien fifties s'il en est, dans un futur biopic dédié à l'égérie hitchcockienne incontournable.
Actrice dont elle a déjà le blond lumineux et avec qui elle a également en commun une aura de sex symbol subissant le sexisme des médias et de l'audience. Accueil dont elle se joue volontiers en hésitant jamais à revendiquer sa liberté. Quitte à être victime d'une vague de misogynie en ligne.
En attendant que le film dédié à Novak révèle ses premières images, et l'attendue transformation physique de la comédienne américaine, EMPIRE lui accorde une série de photos exceptionnelle où Sydney Sweeney ravive justement l'aura des femmes fatales des années 50, tendance Ava Gardner, Katherine Hepburn...
Les internautes s'affolent face à ces clichés dévoilant dans un noir et blanc classieux un visage inattendu et jamais mis en lumière jusqu'alors de la vingtenaire aux quelques millions de followers sur Instagram.
"On dirait Grace Kelly", "Une star glamour comme en fait plus"
Les internautes restent sidérés face aux photos très "vintage" de Sydney Sweeney, accordant au célèbre magazine de cinéma EMPIRE une longue interview afin de tirer le bilan de sa carrière, de ses controverses et du regard forcément mi figue mi raisin qu'elle accorde à ses choix artistiques. Du très discuté Madame Web, où elle fait volontiers office de figurante tant son rôle est anecdotique, au mégasuccès de Tout sauf toi, rom com où elle côtoie le bellâtre Glen Powell, mais qui a engendré des critiques négatives de la part des journalistes...
L'occasion d'aborder d'autres sujets que son sempiternel et houleux lien à son corps, à sa sexualité et à la sur sexualisation dont elle est sujette. Sydney Sweeney aborde régulièrement la façon dont les internautes commentent, à l'unisson des tabloïds, son aura glamour, ses seins, jugés "trop gros", ses relations avec les hommes... et EMPIRE a l'idée judicieuse d'esquiver ces sujets redondants.
C'est heureux : Sydney Sweeney est avant tout une comédienne aux choix très éclectiques, tel que l'a démontré le film d'horreur à l'issue dévastatrice Immaculée, et une femme d'affaires lucide et influente, conservant un regard constant sur les oeuvres où elle joue, à l'instar de l'un de ses role models... Margot Robbie. On a déjà vu analogie plus catastrophique au sein de l'environnement hollywoodien actuel.
"Ce secteur, celui de l'industrie hollywoodienne, est si fascinant", témoigne Sydney Sweeney, qui est à la tête de sa firme, Fifty-Fifty Films, et explore donc cette scène de l'intérieur. "Il y a tellement de discussions, et je trouve ça vraiment exaltant. C'est en constante évolution".
Quand elle se retrouve devant la caméra, et non derrière, l'actrice fait des étincelles, là où on ne l'attend guère : il suffit de découvrir le sidérant Reality, où elle excelle, afin d'en témoigner. "Je m'épanouis dans le chaos. J'adore travailler. J'aime jongler avec plusieurs choses à la fois. Je ne dors pas beaucoup, mais je suis plus à l'aise quand je dors le plus rarement".