Jameela Jamil dévoile les dessous de sa vie sexuelle.
Et l'actrice féministe britannique de briser les non-dits sur le plaisir au féminin, en bataillant pour son droit à l'orgasme. L'un des nombreux combats de cette superstar ouvertement féministe.
La star de The Good Place et She Hulk privilégie le franc parler. Qu'elle aborde le body shaming ou les jugements sur la sexualité des femmes, les injonctions sociales ou la grossophobie.
L'an dernier encore, sur Instagram, l'espace d'un post abondamment liké, Jameela Jamil a fustigeait un hommage à Karl Lagerfeld. "Karl Lagerfeld a tenu des propos misogynes et n'a jamais exprimé aucun remord [au sujet de ces propos controversés, ndlr], n'offrant aucune expiation, aucune excuse aux personnes marginalisées".
Jamil n'a jamais hésité à qualifier le célèbre créateur de "misogyne impitoyable et grossophobe".
Cette semaine le ton est plus léger néanmoins. Loin d'être anodin : il est question d'orgasmes et de la difficulté vécue lorsqu'il s'agit d'explorer son intimité quand on est une femme.
C'est son plaisir que la comédienne évoque et avec lui l'importance de l'assumer. Si décomplexé soit-il...
Jameela Jamil brise le silence Avec la dérision qui est sienne tout naturellement.
Elle tient à considérer le plaisir des femmes comme une lutte intime et politique. A ce titre elle raconte dans une nouvelle interview : "J'ai eu beaucoup d'orgasmes, des tas, au cours de ma vie, pas moyen de m'arrêter".
Ses mots sont sans filtre et drolatiques : "Je me dis : c'est un peu drôle, mais une fois que les femmes ont atteint l'orgasme, on est comme des Pringles. Impossible de s'arrêter, et ça recommence. Lays, c'est pas la marque de chips avec le slogan « on ne peut pas en avoir qu'une seule » ?"
Surtout, c'est en devenant DJ que Jameela a beaucoup "joui", dit-elle. La cause ? Les vibrations, bien sûr. Les bruissements des platines et son positionnement physique bien précis durant ces sessions électro. Qui auraient remué son for intérieur. Et plus sis affinités. Un sketch.
"Jamil a révélé une autre chose au sujet de son corps : réussir à atteindre des orgasmes multiples, simplement en étant DJ.", s'amuse effectivement le site féministe Jezebel. Sally avait raison : il est bien plus facile de simuler. Car pour connaître l'orgasme, il faut devenir DJ.