





C'est une fin de semaine bien agitée pour Iris Mittenaere. Après avoir roucoulé avec son nouveau compagnon, le rugbyman Antoine Dupont, à Roland-Garros, la Miss France 2016 se débat désormais avec des accusations d'infidélité.
Le 11 juin, le Youtubeur Aqababe, qui se présente comme le Gossip Girl français, a publié sur X : "Le vrai visage d’Iris Mittenaere enfin dévoilé". À coups de photos, de vidéos d'elle au lit avec un autre homme, Bruno Pelat, et de capture d'écrans des conversations privées de la mannequin publiés sur son canal Instagram "Chipies Only", il prouve selon lui que cette dernière a trompé son ex-compagnon Diego El Glaoui. La mannequin de 32 ans et l'agent d'influenceurs ont été en couple pendant 5 ans et se sont séparés en mai 2024, deux ans après s'être fiancés. Ce qui ne fait pas sens puisqu'il précise que la vidéo de Mittenaere et Pelat daterait du 16 novembre 2024.
Aussitôt après les publications d'Aqababe, Diego El Glaoui a corroboré ces accusations en story de son compte Instagram. "J’ai découvert que j’avais été trompé peu après nos fiançailles et durant plusieurs mois", écrit-il. Il en profite pour expliquer que c'est parce qu'il se savait trompé qu'il avait pu donner l'impression d'être dur envers sa compagne de l'époque. Cela lui avait été reproché après la diffusion de leur série diffusé sur Prime Vidéo.
Estimant peut-être que l'occasion était idéale, Bruno Pelat, celui avec qui Iris Mittenaere aurait trompé El Glaoui, a lui aussi confirmé la véracité des images dévoilées par Aqababe. En story de son compte Instagram, à travers la voix de son avocat qui s'exprime dans un communiqué de presse, on lit qu'il "rappelle l'authenticité de ces enregistrements réalisés au mois de novembre 2024". Ancien compagnon de la Miss, l avait été condamné en novembre 2024 à 6 mois de prison ferme pour des violences conjugales à son encontre. Elle avait également obtenu un ordonnance d'éloignement contre lui mais la vidéo dévoilée par Aqababe les montrerait quelques jours plus tard, en train d'en rire.
Face à tout ce bruit, Iris Mittenaere a réagi. En story de son compte Instagram, elle nie les accusations et déclare faire "l'objet d'une campagne de haine et de diffamation" et ajoute qu'il "est temps que cela cesse". Elle affirme avoir déposée une plainte au pénale auprès du Procureur de la République de Paris "pour divulgation de correspondances privées, diffamation publique, cyberharcèlement et incitation au cyberharcèlement". "Parallèlement, une procédure d'urgence civile est engagée pour atteinte à l'intimité de ma vie privée", ajoute-t-elle. Affaire à suivre.
