"Ça va passer... mais quand ?" : 3 bonnes raisons de regarder le téléfilm avec Julie Gayet

Publié le Mercredi 14 Mai 2014
"Ça va passer... mais quand ?" : 3 bonnes raisons de regarder le téléfilm avec Julie Gayet
"Ça va passer... mais quand ?" : 3 bonnes raisons de regarder le téléfilm avec Julie Gayet
Dans cette photo : Julie Gayet
Quatre mois après les révélations de Closer, Julie Gayet est de retour à l'écran aux côtés de Stéphane Freiss et Mélusine Mayance dans « Ça va passer...mais quand ? », un téléfilm réalisé par Stéphane Kappes et diffusé ce mercredi à 20 h 45 sur France 2. 3 bonnes raisons de regarder.
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1. Parce que c’est l’occasion de s’intéresser au travail d’actrice de Julie Gayet

Surexposée depuis les révélations de Closer lui prêtant une relation avec François Hollande, Julie Gayet voit chacune de ses apparitions (on l’a vu aux César et bientôt sur le tapis rouge à Cannes) scrutés. Pour la première fois depuis janvier, c’est en tant qu’actrice que les Français pourront la (re)découvrir. Elle sera, en effet, à l’affiche de « Ça va passer...mais quand ? » réalisé par Stéphane Kappes et écrit par Céline et Martin Guyot, ce mercredi à 20 h 45 sur France 2. Elle y joue avec beaucoup de justesse Sophie, maman de Paola, une adolescente en pleine crise aux côtés de de Stéphane Freiss, qui interprète un papa poule à hurler de rire. « Ce film est un hommage à mes enfants. Mais je l'ai aussi tourné parce que le scénario est formidable pour les parents. Il explique ce qu'est l'adolescence et il est très juste », a expliqué l’actrice dans une interview au Figaro.

2. Pour la performance de l’excellente Mélusine Mayance

Elle joue Paola, la terrifiante adolescente, collégienne ingrate et insolente, qui fait vivre un enfer à ses parents avec brio. A 13 ans, la très douée Mélusine Mayance n’en est pourtant pas à son coup d’essai. La jeune fille a, en effet, fait ses débuts dans « Ozon Ricky » de François Ozon à l’âge de 10 ans et a partagé la vedette à 11 ans avec Kristin Scott Thomas dans « Elle s'appelait Sarah » de Gilles Paquet-Brenner.

3. Parce que ça sent le vécu

Les dialogues sont vachards, les scènes incroyablement justes et drôles. Et pour cause, cette comédie irrésistible sent le vécu. Ces auteurs, Céline et Martin Guyot, ont subi eux aussi la crise d’adolescents de leurs enfants avant d’en faire un film… « L’écriture très juste rendant le scénario homogène et cohérent. Ce qui n’est pas ordinaire et plutôt osé ! C’est un projet ambitieux, une espèce de serpent de mer. Tous les personnages avaient du sens et méritaient d’être joués. Il y avait aussi ce pari de faire un film un peu caméléon qui commence comme une comédie et finit comme un drame », a expliqué Stéphane Freiss.