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La mort d'une femme enceinte crée une onde de choc au Portugal

Cette mort, a déclaré le Premier ministre, est "la dernière goutte d'eau" au sein d'un pays en pleine crise hospitalière : manque de salaire, salaires trop bas, matérial obsolète.
Cette mort, a déclaré le Premier ministre, est "la dernière goutte d'eau" au sein d'un pays en pleine crise hospitalière : manque de salaire, salaires trop bas, matérial obsolète.
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La mort d'une femme enceinte crée une onde de choc au Portugal
La mort d'une femme enceinte au Portugal crée un cataclysme
Alors qu'elle était transférée de l'hôpital en raison d'un manque d'espace, une femme enceinte est décédée au Portugal.
Agée de 34 ans, la défunte éprouvait des problèmes respiratoires et une hypertension artérielle, et est décédée des suites d'une crise cardiaque dans l'ambulance. Son bébé a survécu.
Le Premier ministre, António Costa, a déploré la démission de la ministre de la Santé, Marta Temido, suite à ce drame.
La ministre avait déclaré "n'avoir plus les conditions nécessaires pour assurer sa fonction".
Au Portugal la crise sanitaire a engendré la fermeture des services d'urgence à travers le pays et mis les services de soins de maternité "sous une pression extrême"
Au Portugal la mortalité infantile est à son taux le plus élevé depuis 2018, avec un chiffre considérable de de 23,9 %, "quatre fois supérieur à la moyenne de l'UE".
Des soucis que la crise du coronavirus n'auraient fait qu'exacerber.
Cependant les responsables de l'hôpital Santa Maria ont déclaré qu'un tel drame n'aurait pu être "ni prévisible ni attendu dans cette situation"
Cette mort, a déclaré le Premier ministre, est "la dernière goutte d'eau" au sein d'un pays en pleine crise hospitalière : manque de salaire, salaires trop bas, matérial obsolète.