Rejoignez-nous sur les réseaux sociaux
Société
Féminisme
LGBTQI
Environnement
Politique
Monde
People
Buzz
Culture
Cinéma
Spectacles
Séries
Médias
Livres
Musique
Job
Trouver un job
Carrière
Monter sa boîte
Parentalité
Grossesse
Bébé
Ados
Bien-être
Sexo
Couple
Psycho
Santé
Forme
Nutrition
Lifestyle
Mode
Beauté
Food
Déco
DIY
TF Originals
Interviews Girl Power
Portraits
Les Audacieuses

"A mes amours", du porno féministe qui bouscule le couple

Du porno qui met en scène des corps et des désirs différents.
Du porno qui met en scène des corps et des désirs différents.
News essentielles television interview plaisir orgasme Femmes engagées Sexe sexualité masturbation porno
Retour article : "A mes amours", du porno féministe qui bouscule le couple
© Anoushka
"A mes amours", du porno féministe qui bouscule le couple sur Canal +
Poser de vraies questions féministes dans un porno, oui, c'est possible. La réalisatrice Anoushka le démontre une nouvelle fois avec son dernier film, "A mes amours".
Diffusé ce 22 janvier sur Canal+ à 00h47, le dernier film de la réalisatrice française Anoushka illustre avec vigueur l'envie de cette dernière : proposer du X émancipé des "tags" basiques pour libidineux en manque d'inspiration.
Du porno qui met en scène des corps et des désirs différents.
On conserve du porno ce réflexe de l'avance rapide : cette idée que tout ce qui précède les scènes de sexe serait totalement dépourvu d'intérêt. Mais c'est justement dans ces zones-là qu'A mes amours vient nous questionner.
Si les positions se multiplient à l'écran, d'un 69 audacieux à une levrette passionnée assénée de quelques fessées, les corps aussi prônent la diversité. Acteurs blancs et noirs, protagoniste grosse, sont mis en scène avec tendresse, sans fétichisation
Le plaisir, évident lors des scènes de sexe joyeuses où les partenaires se cherchent, s'amusent et communiquent, y est une expérience, sans être pour autant une injonction.
"Je veux montrer le corps des femmes et les sexualités avec éthique, bienveillance et surtout militantisme, dans un cinéma qui a longtemps été dominé par les hommes, pour les hommes"