Françoise Hardy et Jacques Dutronc : "nous sommes condamnés à être vieux et moches"
Françoise Hardy et Jacques Dutronc : "nous sommes condamnés à être vieux et moches"
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Françoise Hardy
La chanteuse s’est confiée dans les pages de « Paris Match » à l’occasion de la sortie de son livre. Elle y dépeint la vieillesse avec crudité.
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A l’occasion de la sortie de son livre, Avis non autorisés, François Hardy se répand au sujet des maux de la vieillesse, le sujet dans son livre, dans les médias. Peu charitable avec elle-même, elle n'est pas plus complaisante avec Jacques Dutronc.
Dans une longue interview au magazine Paris Match, la chanteuse évoque en effet la vieillesse et la mort sans aucun fard : douleurs physiques, solitude, elle n’épargne rien au lecteur.
« Je n’aurais pas la force de prendre cela en charge »
Evoquant ensuite son époux Jacques Dutronc, qui a toujours pensé qu’elle lui survivrait en raison de son hygiène de vie médiocre, elle n’épargne pas ce dernier : « Son couplet sur le fait qu’”il ne ferait pas de vieux os” et qu’en revanche je “ferais une jolie veuve”, je l’ai entendu cent fois. Les années passant, il est toujours là bien vivant. Nous sommes tous les deux condamnés à être vieux et moches. »Françoise Hardy semble terrifiée à l’idée de mourir après Jacques Dutronc. Mais la chanteuse, qui n’a décidément plus aucun filtre, ne craint pas d’être triste. Comme elle le confie à Paris Match, c’est le fait de devoir gérer leurs biens communs après sa mort qui la terrifie : « La maison en Corse m’appartient, mais c’est Jacques qui la gère. Je n’aurais pas la force de prendre cela en charge », s’inquiète-t-elle.
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