Les secrets d'un cunnilingus réussi à l'usage de ces messieurs

Publié le Lundi 15 Juillet 2013
Les secrets d'un cunnilingus réussi à l'usage de ces messieurs
Les secrets d'un cunnilingus réussi à l'usage de ces messieurs
Votre partenaire n'est pas particulièrement diserte lorsqu'il s'agit de débriefer sur votre dernier cunnilingus ? Par bonheur, notre experte Sophie Bramly n'a pas ce genre de réticence. Voici une poignée de précieux conseils pour faire vibrer (encore plus ?) votre moitié à la force de la langue.
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Une étude publiée récemment dans le journal of Evolutionary Psychology annonçait que les hommes font des cunnilingus aux femmes pour éviter tout risque d'infidélité. Faut-il encore qu'ils soient bien faits ! Si l'infidélité féminine fait trembler les hommes, livrons-leur ici quelques clés qui rendront l'idée plus pertinente. Voilà une page web à faire traîner près du lit...

À l'inverse des hommes qui ne disent guère comment améliorer une fellation (ils répondent presque invariablement que ce qui compte c'est que la femme ait du plaisir à le faire et qu'ils puissent le lire dans leurs yeux, sans plus de précisions), les femmes évitent cette tendre hypocrisie mais ne sont pas toujours très loquaces sur ce qu'elles aiment. Or, de même que certains points du pénis et du scrotum sont plus ou moins sensibles et que certains gestes valent mieux que d'autres, il y a des manières de faire qui améliorent chez les femmes les plaisirs clitoridiens.

L'homme est, par exemple, assis à genoux près du lit tandis que la femme est confortablement allongée, les pieds frôlant le sol, les cuisses écartées et la vulve au bord du lit (avec une lumière tamisée, si besoin est). Il caresse délicatement l'intérieur des cuisses pour faire frémir l'épiderme avant de glisser sa bouche d'abord sur les lèvres – qu'il peut commencer par embrasser - pour ne rien précipiter. Il lèche ensuite toute la vulve, insistant sur le haut et le bas de l'ouverture vaginale, changeant de rythme, s'arrêtant quelques instants pour que le désir s'intensifie, devienne presque irritant. La langue est plate pour couvrir la surface la plus large possible et se fait pointue lorsque par instants elle pénètre le vagin ou longe une lèvre. Puis, enfin, elle remonte vers le clitoris, joue avec le gland, le suce comme un bonbon, titille le prépuce. Le partenaire peut vérifier avec son doigt le plaisir qu'il génère, en vérifiant si la lubrification est bonne (et caresser les parois internes du vagin, aussi). Les plus aventureux glisseront la langue vers l'anus. Ce sont les mouvements de hanche de la partenaire qui l'aideront à comprendre le rythme désiré, à moins qu'elle décide de prendre le contrôle en s'asseyant sur le visage de l'homme.

Pour faire durer le plaisir plus longtemps, on peut aussi couvrir le sexe de quelques ingrédients culinaires : crème chantilly, fruits d'été, chocolat liquide, sirop ou miel… à condition que rien ne pénètre le vagin pour ne pas risquer d'infections. D'autres préfèreront les lubrifiants - parfumés ou non, selon que les odeurs corporelles excitent ou sont redoutées - qui augmentent le plaisir de la femme.

Comment savoir les effets produits si la partenaire est réservée ? Les lèvres seront gonflées et d'un rouge plus foncé, le clitoris en érection, la lubrification de plus en plus abondante, et, selon les unes ou les autres, elle seront totalement immobiles ou au contraire accélèreront le mouvement au moment de l'orgasme. Une seule chose est essentielle à ce moment-là : ne pas changer de rythme, pour ne pas perturber l'extase.

Aux hommes de dire maintenant si en dehors des yeux qui pétillent et de l'enthousiasme affiché à suçoter savoureusement leur gland, ils ont quelques demandes précises pour atteindre de nouveaux rivages...