Il y a deux mois, c'était le choc. Après quatre ans d'amour et deux beaux enfants, Jérémy Ménez et Emilie Nef Naf mettaient fin à leur relation. Quelques jours plus tard, le footballeur s'affichait au bras de sa nouvelle conquête, Francesca.
Aujourd'hui, Emilie Nef Naf semble apaisée. Dans une interview accordée à Public, la maman de Maëlla, 3 ans, et Menzo, 1 an, sur la fin de cette belle histoire. Enceinte trois mois après leur rencontre, la gagnante de Secret Story 3 concède que tout est peut-être allé un peu trop vite entre eux. "Ma vie a changé, complètement et très rapidement. Je voulais devenir une mère, et lui un père. On ne s'est pas posé de questions. On a foncé. Quatre ans après, je me dis qu'on aurait peut-être dû prendre notre temps."
Emilie Nef Naf revient aussi sur sa vie de femme de footballeur qui n'est "pas rose tous les jours". "Il y a des moments où je me suis sentie vraiment seule. Lorsque je suis arrivée à Milan, je ne connaissais pas la langue et je n'avais pas d'amis. Mais je devais garder mes états d'âme pour moi."
Autant de difficultés qui ont peu à peu érodé l'amour que se portaient Emilie Nef Naf et Jérémy Ménez. La jeune femme l'affirme d'ailleurs. "Nous avons rompu d'un commun accord. Jérémy ne s'intéressait plus à moi. Je me sentais délaissée, alors j'ai dit stop."
Mais Emilie Nef Naf ne ressent pas de ressentiment. Pour le bien des enfants qu'elle a eu avec le footballeur, elle avoue faire des efforts et est aujourd'hui en bons termes avec lui. "Nous sommes deux personnes intelligentes. Je suis restée à Milan pour qu'il garde le lien avec les enfants. Je ne parle jamais en mal de leur père. Je ne pourrais jamais faire ça. [...] J'étais un peu en colère au début mais j'ai digéré." Ses relations avec Francesca, un peu tendues au début, sont aujourd'hui cordiales. "Je parle avec elle au téléphone maintenant. Je n'ai pas d'autres solutions. Cela a été difficile à encaisser mais je le fais pour les enfants."
Quant à Jérémy Ménez, "il sera toujours le père de mes enfants, mais je ne l'aime plus." Voilà qui est dit.