Adèle Exarchopoulos, de nouveau égérie fashion.
Dans les pages glacées de Harpers Bazaar, version frenchie, en ce mois de septembre, l'actrice doublement Césarisée décline effectivement avec un charisme redoutable sa silhouette emblématique en classieux clichés : tenue glamour, noir et blanc d'esthète, blouson de cuir, mélancolie sous-jacente. Comme un parfum de spleen concilié au sexy, qui n'a pas laissé indifférents les abondants fans de l'interprète.
Qui dans les commentaires des photos sur Instagram, à l'égard de l'actrice fière de relayer les clichés sur son propre compte, redoublent d'éloquence. "Quelle beauté !", "Epoustouflante", "Iconique", "Tu es incroyable", lit-on au gré des réactions très énamourées. Malgré tout, ces photographies hyper stylisées, et notables par leur épure, divisent également les internautes pour certaines raisons...
Emblématique, mais clivante ?
Adèle Exarchopoulos dévoile un nouveau visage pour Harpers en cette rentrée. Revue historique, connue pour avoir immortalisé les stars les plus glamour de l'histoire outre-atlantique.
Et la comédienne y apparaît mystérieuse, spleenétique, avec, c'est étonnant... Un faux air de Charli xcx. Popstar phénoménale, reine de l'hyperpop et du brat summer (du nom de son dernier opus en date, véritable best seller des charts), connue pour ses chorégraphies sulfureuses, son goût de l'électro fiévreuse et des parties sans fin. Sourcils, spleen, parfum de souffre, âge : les deux superstars ont beaucoup en commun sur ces clichés, de la mise en scène de leur corps, décomplexée, à leur génération.
D'ailleurs, charli xcx like toutes les publications d'Adèle Exarchopoulos sur Instagram. Un geste qui ne ment pas.
Et un physique qui suscite d'étranges réactions, néanmoins...
"Elle a fait quoi à son visage Adèle ?", "On ne la reconnaît pas", "Il est étrange son visage", "Elle a fait quelque chose ?", commentent à l'unisson quelques indiscrets, vraisemblablement très troublés par ce mimétisme. Et si on laissait Adèle Exarchopoulos tranquille ? Ces remarques, si elles semblent bienveillantes, ne sont jamais qu'à deux doigts du body shaming. C'est ciao.