A Deauville, elle éblouit bien au-delà des Planches.
A 62 ans, cette star de la série délicieusement cheesy Emily in Paris défie l'âgisme, à savoir, cette exclusion, stigmatisante et discriminante, des femmes, une fois atteint le cap de la quarantaine...
Philippine Leroy-Beaulieu, car c'est bien de elle dont il s'agit, comédienne remarquable qui traverse le cinéma français depuis 40 ans, jusqu'à son grand come back dans le show américain susnommé, redouble d'élégance dans la ville favorite de Claude Lelouch, îlot fétiche des impressionnistes. Où elle accorde une interview sur son rapport à la création, au style et au temps qui passe, à l'occasion du récent Festival qui s'est tenu en septembre. Et se réjouit d'envoyer valser les mufles de comptoir, de ceux qui accolent aux femmes une "date de péremption".
Un adage bien sexiste fustigé par une autre sexagénaire iconique, Laure Adler...
Les images ci-dessous témoignent de sa classe, et de sa notoriété : elle a suscité quantité de compliments...
Une soixantaine éblouissante.
Paris Match interroge l'espace de quelques questions Philippine Leroy-Beaulieu, l'une des rares comédiennes de cette génération visible dans le cinéma hexagonal, et bénéficiant d'une aura internationale (on pense également à Isabelle Hupper, icône septuagénaire) la sexagénaire se confessant volontiers au célèbre journal, étayant ainsi : "À Deauville, nous avons rencontré Philippine Leroy-Beaulieu. Jurée du Festival du cinéma américain, l’actrice d’Emily in Paris s’est prêtée au jeu de nos questions sans confession, entre rires, confidences et éclats de vérité ! "
Et les fans de jubiler : "Elle est sublime cette femme", "Quelle classe", "Une telle beauté", "Je l'adore"...
Ou encore : "C'est une grande parmi les grandes", "Adorable", "Toujours aussi belle", "Elégante !", entre autres compliments foisonnants. Pour une fois que l'âgisme et le body shaming sont persona non grata sur les réseaux sociaux...
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