Victime d'une fake news transphobe, Brigitte Macron voit ses deux harceleuses relaxées : la transphobie toujours impunie en France ?
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Victime d'une fake news transphobe, Brigitte Macron voit ses deux harceleuses relaxées : la transphobie toujours impunie en France ?
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Victime d'une rumeur transphobe et existe largement diffusée par les complotistes sur les réseaux sociaux, Brigitte Macron a vu, au tribunal, deux de ses harceleuses... Relaxées. La preuve que la propagande transphobe demeure impunie en France ?
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Largement alimentées sur les réseaux sociaux, les rumeurs prétendant que Brigitte Macron serait un homme témoignent d'une instrumentalisation politique, et haineuse, relative à un phénomène très banalisé outre atlantique, en ligne : la transvestigation, autrement dit, les "enquêtes" de certains internautes, généralement réactionnaires, visant à démontrer qu'une femme cisgenre est une femme transgenre.
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Des actrices comme Sarah Michelle Gellar ont déjà été victimes de cette "trans-vestigation", Kate Middleton également. Brigitte Macron quant à elle a subi un égal cyber harcèlement, qui a engendré, notamment, le jugement de deux de ses harceleuses. Celles-ci viennent finalement, cette semaine, écopé... D'une amende, et d'un paiement de dommages et intérêts. Elles ont été relaxées...
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De quoi laisser impunie la transphobie, et plus encore, la banaliser ? La trans vestigation, c'est également le cas de la boxeuse algérienne Imane Khelif, objet de fake news transphobes particulièrement virulentes aussi bien propagées par l'extrême droite... Que par JK Rowling, la créatrice de Harry Potter.