Ayem Nour dément avoir tenté de se suicider et attaque le magazine Public

Publié le Samedi 14 Mars 2015
Marie Deghetto
Par Marie Deghetto journaliste
La chroniqueuse Ayem Nour
La chroniqueuse Ayem Nour
Jeudi, l'ancienne chroniqueuse du Mag est revenue sur son hospitalisation très médiatisée sur le plateau de Matthieu Delormeau. Ayem dément toute tentative de suicide après son hypothétique rupture et attaque en justice plusieurs magazines people pour " propos mensongers et diffamation ".
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Quelques semaines après son séjour à l'hôpital américain de Neuilly-sur-Seine, Ayem Nour est venue donner sa version des faits sur NRJ 12. Le 17 février dernier, le magazine Public évoquait un abus d'alcool et de médicaments suite à une rupture avec son compagnon Vincent Miclet entraînant une hospitalisation d'urgence. Ayem dément complétement ces informations et explique avoir fait une simple chute de tension suite à la prise de coupe faim : " J'étais dans une période où j'avais pris un peu de poids et du coup j'ai pris des coupe faim. Mon corps n'a pas supporté. C'était une journée où je n'avais pas mangé ", a-t-elle déclaré sur le plateau duMag . Elle précise être toujours en couple : " Ce jour-là je me suis disputée avec mon chéri, oui je suis partie à l'hôtel, mais ce n'était pas une rupture. J'ai fait une baisse de tension, je suis allée à l'hôpital avec un chauffeur privé. Ce n'était pas une tentative de suicide. Vincent ne m'a pas quittée ".

Elle attaque Voici, Public, Oops en justice

Très énervée, Ayem annonce qu'elle attaque en justice les magazines people qui ont, selon elle, publié des " propos mensongers ". " J'attaque Voici, j'attaque Public, j'attaque Oops... [...] Public, vous allez bien m'écouter, ça commence à bien faire, j'ai été très gentille et très courtoise. Vous me fatiguez et vous allez avoir des nouvelles de mon avocat très prochainement ", a-t-elle précisé. Le magazine Public a immédiatement maintenu ses informations sur Twitter : " Comme si on restait à l'hôpital trois jours pour une chute de tension ", écrit-il, énervant encore plus Ayem.