Sydney Sweeney clive délicatement avec ces nouvelles images de tapis rouge. Quand certains ne parlent que de son décolleté "vertigineux", DA qui lui est propre, d'autres insistent sur sa sensibilité politique, à droite dit-on.
Team Trump ou pas, Sydney Sweeney ?
D'aucuns y vont de leurs théories. Marque de lingerie en partie financée par Jeff Bezos, absences de prises de position claires sur ses affinités politiques, défense par le leader himself lors de sa controverse pour une pub de jeans polémiques (louant ses "gênes parfaits"), image de "bimbo blonde et blanche" adulée par les réacs. Tout cela est suffisant aux yeux du public pour ériger la jeune actrice en icône d'un certain camp militant très virulent en ligne.
Oui mais par-delà cela, la comédienne cherche avant tout à parler de son vrai métier. Entre la prochaine saison de la série Euphoria et son biopic de la boxeuse queer Christy Martin, l'interprète a de nombreux projets à promouvoir.
Hélas, quand ce n'est pas les rumeurs qui accaparent l'attention, ce sont ses tenues décolletées. Qui bien que témoignant d'une sensualité assumée à souhait chez la star, engendrent aussi des commentaires dont on se passerait volontiers.
Sydney Sweeney multiplie les styles spectaculaires ces dernières semaines. Qu'elle promeut Christy, biopic de la boxeuse professionnelle Christy Martin, ou le très attendu La femme de ménage, avec Amanda Seyfried, la comédienne connue pour son goût des robes très décolletées assume sa sensualité avec fierté.
Elle a bien raison. Cette hyper-féminité, c'est clairement la DA de Sydney Sweeney, sa signature.
Hélas cela lui vaut bien des remarques déplacées. Comme celles des malotrus comparent sa poitrine jugée trop grosse ou mise en valeur à des "Golden Globes", jeu de mots avec ces statuettes voisines aux Oscars (une blague souvent faite à Salma Hayek, toujours pas des gros porcs), et d'autres y allant de leurs gifs façon Tex Avery. Les mêmes qui ne sont jamais loin du harcèlement quand il s'agit de commenter la moindre photo de la star.
L'interprète elle revendique cette iconographie indissociable de son personnage. Tant pis si cela choque, un corps de femme.
Au gré des commentaires toujours, des remarques sur un style aujourd'hui considéré comme très politique. Trop. "Elle ressemble de plus en plus à une Républicaine", maugrée une internaute qui voit en la star l'incarnation-même de la tradwive, ces femmes réactionnaires et anti-féministes consacrées à leur époux et à ses désirs.