Kim Kardashian a beau s'exprimer de plus sur la santé mentale, la santé tout court, la maternité, le pouvoir des femmes, elle reste pour tout un tas d'olibrius : une paire de seins.
Quand bien même son corps est à ses yeux une partie de ce pouvoir justement, une esthétique choc qui vient réduire à néant les malotrus et autres gougnafiers de premières. Sur les images à découvrir en bas de cet article, Kim K ainsi s’effeuille, évoque ses affects et les liens solides qu’elle noue avec ceux à qui elle tient plus que tout.
Seulement voilà, le porcs n’ont d’yeux que pour son décolleté profond. Et l’espace commentaires de se transformer en Jean-Marie Bigard.
Qui est surpris hélas ?
Kim Kardashian est la femme la plus puissante au monde.
En tout cas, niveau influence, richesse, célébrité, impact, elle dans le top de Forbes Women. Et au niveau de son esthétique, de son rapport à sa sensualité et à sa silhouette inénarrable, on pense illico à ces mots de Sydney Sweeney qui lui iraient comme un gant : "L'une des questions que l'on me pose le plus souvent est : " Êtes-vous féministe ? " Et bien je le suis, en acceptant le corps que j'ai. C'est mon geste sexy et fort, et je ne pense pas qu'il y ait quelque chose de mal à cela. C'est de cette façon dont je revendique la liberté de mon propre corps..."
Hélas pour les pingouins les plus grelottants de la banquise, elle aime son corps, les tenues sexy, le glamour, et ce qui provoque le patriarcat. Naked dress dévoilant seins et fesses, décolletés vertigineux, lingerie de sa propre marque, sous-vêtements de diva indémodable. Les femmes qui sont sûres de leur sexualité effraient toujours les hommes.
Et dans cette interview dévoilée ci-contre, elle s’allonge sur le divan pour aborder bien d’autres choses, sur sa vie personnelle, son rapport à la célébrité et aux liens affectifs, ce qui la motive au quotidien, ou encore la série All’s Fair, qui essuie des critiques d’une violence rarement vue.
“Gonflés à l’hélium”, “Elle dit quoi ? Je faisais pas gaffe”, “Impossible d’être concentré face à ça”, “La culture du vide”, fustigent quelques goujats. D’autres s’exercent à complimenter son “corps de rêve”. Pourquoi pas. Sauf qu’on passe encore à côté de l’essentiel : écouter Kim K.
Oui.