Star de "Creed III" et "Ant Man", Jonathan Majors a été inculpé pour violences conjugales
Vous n'avez pas pu échapper à Jonathan Majors ces derniers mois. Entre son rôle d'ancien pote/nouvel ennemi dans Creed III, où il donne du fil à retordre au célèbre boxeur incarné par Michael B Jordan, et sa partition tout aussi remarquée dans Ant-Man et la guêpe: Quantumania, l'acteur afroaméricain a détonné dans les derniers blockbusters qui comptent.
Mais c'est une affaire bien moins divertissante qui le remet aujourd'hui sur le devant de la scène. Jonathan Majors est effectivement soupçonné d'avoir agressé une femme. L'acteur a été interpellé à New York le 25 mars dernier. Puis il a été placé en garde à vue. Plus précisément, une femme de 30 ans l'accuse d'agression, strangulation et harcèlement.
La police a quant à elle évoqué un "conflit conjugal" : il s'agirait donc d'une affaire de violences conjugales. Inculpé, Jonathan Majors fait l'objet de graves accusations.
"Une douleur considérable"
A l'origine de cette inculpation succédant à une enquête préliminaire, une intervention de la police new-yorkaise dans un appartement de Manhattan, suite à un appel d'urgence. Appel émis par une jeune femme de trente ans, restée anonyme. Celle-ci, souffrant de lésions mineures à la tête et au cou, et transportée à l'hôpital suite à l'arrivée des autorités, a détaillé dans sa plainte avoir été "giflée" et "étranglée" par l'acteur.
Elle a également affirmé avoir été "frappée au visage" et "lacérée derrière l'oreille" par la star. Comme l'indique le magazine Variety, la jeune femme a également déploré avoir éprouvé une "douleur considérable" après son agression présumée, et faire encore état "d'ecchymoses" sur le corps.
Durant sa garde à vue, et suite à celle-ci, Jonathan Majors a démenti les charges dont on l'accuse. Son avocate, Priya Chaudhry, clame également l'innocence de son client : "Nous rassemblons et présenterons rapidement des preuves au procureur de district dans l'espoir que toutes les charges soient abandonnées sous peu".
