Samara Weaving est une diva absolue.
Et elle l'assume avec une classe inouïe. Sur Instagram, l'actrice australienne acclamée pour ses partitions réjouissantes dans des films d'horreur particulièrement générationnels (tendance gen Z) comme Ready or not (Wedding Nightmare, où elle redouble d'aura badass) ou Scream 6 (une séquence d'introduction sardonique et aussi légendaire que celle du premier opus, avec Drew Barrymore, et du second, avec Sarah Michelle Gellar) sidère ses fans en multipliant les selfies glamour.
Il y a la Samara Weaving des écrans, du cinéma (bientôt à l'affiche d'un nouveau spécimen de "folk horror"), personnage féminin fort, redoutable, adepte des séquences gore et horrifiantes, et il y a la Samara Weaving des réseaux sociaux : le sex symbol absolu, à la sensualité affirmée.
Ainsi la scream queen se dévoile-t-elle en bikini rouge sur les images à retrouver ci-contre, près de sa piscine...
Samara Weaving est très décomplexée.
Sur les photos très estivales à retrouver ci-contre, relayées sur ses réseaux sociaux, elle assume sa sensualité, et en fait une force, bikini rouge en évidence et bains de soleil en guise de philosophie de vie. Le brat summer se conjugue façon lifestyle et maillots de bain.
Ses millions de fans saluent dans les commentaires sa stature emblématique d'ailleurs, la trouvant tour à tour "si sexy", "hyper glamour", "époustouflante" ou encore "absolument sidérante". En vérité, l'actrice australienne se fait depuis plusieurs années l'héritière des "scream queen" d'antan, tendance Jamie Lee Curtis ou Jennifer Love Hewitt, ces femmes hurlant, en courant, dans les slasher movies, poursuivies par le croquemitaine (tendance Halloween, Scream, Vendredi 13)... Sauf que Weaving est de celles qui rabattent le caquet des monstres, avec un art du pied de nez résolu.
Dans chaque rôle qu'elle choisit, c'est consciemment qu'elle combat les clichés. En fait, l'Australienne fait partie de tout un groupe de jeunes actrices badass. Une nouvelle génération d'icônes féminines de l'horreur, dures à cuire, loin de se réduire aux stéréotypes sexistes de jadis. A l'instar de Mia Goth (Pearl, X, Frankenstein), Jenna Ortega, Melissa Barrera, Florence Pugh...
C'est avec la même désinvolture féministe, émancipée du regard des hommes, que l'actrice revendique ici sa sensualité, près de sa piscine, dans sa maison, sur ces images très vite hyper relayées, qui viennent asseoir d'autant plus sa réputation de superstar. Ou tout du moins, d'idole en devenir.