"Elle a morflé", "Il l'a contaminée ?" : l'un des couples les plus sulfureux des années 2000 se reforme sur le tapis rouge et subit la haine des internautes
© BestImage, Backgrid USA / Bestimage
"Elle a morflé", "Il l'a contaminé ?" : l'un des couples les plus sulfureux des années 2000 se reforme sur le tapis rouge et subit la haine des internautes
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Charlie Sheen fait son inespéré come back... Dans la controverse. La controverse, c'est ce film autobiographique, AKA Charlie Sheen, où le principal concerné déroule sa vie, son oeuvre, avec un brin de mea culpa... Mais pas trop. Pas assez, d'ailleurs, à en juger une tribune acerbe du Guardian, qui l'assène : Charlie Sheen n'éprouverait aucun remord pour tout ce qu'il a fait ces 20 dernières années.
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A savoir ? Les accusations de violences conjugales envers l'une de ses ex épouses, certainement sous l'emprise de ses addictions. Ses divers scandales sexuels. Les allégations de femmes l'accusant d'avoir eu des rapports, en étant porteur du VIH, sans se protéger, et en informer ses partenaires au préalable. Ou encore, certains propos complotistes à souhait, autres sources de scandales.
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Las, la presse british l'épingle : Charlie Sheen ne serait pas très doué pour l'introspection. Mais par-delà ces faits critiques, c'est encore autrement que la superstar, l'un des plus connus fils de au monde (ou nepo baby) fait parler. Il suscite les réactions exacerbées des internautes suite à la diffusion de ces images de red carpet où il côtoie... Denise Richards. Actrice culte des années 90, sex symbol, ex compagne et... Binôme de l'un des couples les plus sulfureux des années 2000.
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Charlie Sheen scandalise la presse suite à son AKA Charlie, faux mea culpa et véritable hagiographie sur l'une des stars les plus sulfureuses de son temps - scandales sexuels, violences conjugales, addictions. Et son couple avec Denise Richards de revenir sur le devant de la scène suite à leurs retrouvailles 20 ans plus tard...
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Icône des années 90 au même titre que Neve Campbell (qu'elle côtoie dans l'un des films les plus hot de la décennie), Rose McGowan, Sarah Michelle Gellar ou encore Tara Reid, Denise Richards était également, à l'instar de sa consoeur Jennifer Love Hewitt, un sex symbol. Wild Things l'a érigé en emblème fantasmagorique du "male gaze", ce regard masculin qui calque ses désirs sur des figures de fiction, là où des cinéastes comme Paul Verhoeven (Starship Troopers) se sont volontiers amusé de son envergure de bimbo faussement inoffensive.
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Et les internautes ne lui rendent pas vraiment cette aura. Sur Instagram, les images de son idylle renouée avec Charlie Sheen, couple aux frasques scandaleuses, engendre les commentaires les plus malveillants : "Elle a morflé !", "Il l'a contaminée ?", "C'est le roi de la défonce", "Quel freak !". Quelques réactions dont on se passerait volontiers concernant l'usage fait par l'actrice du Botox s'aperçoivent aussi bien de-ci de-là...
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Cas hélas pas si étonnant de "Botox shaming" : quand une actrice est jugée, et son physique abondamment commenté, à cause de son usage supposé ou réel de la chirurgie esthétique. Renée Zellweger, Courteney Cox, Audrey Fleurot, Kim Novak, on ne compte plus ces derniers mois les célébrités qui en font l'objet.