"Qui voudrait d'elle ?", "Le mec avait faim", "Elle fait sa victime" : la reine Camilla dénonce une agression sexuelle, les internautes sombrent dans le victim blaming et la misogynie crasse
© Abaca, Andrew Milligan/PA Wire (Le roi Charles III et la reine Camilla lors des jeux de Braemar Gathering dans l'Aberdeenshire, le 2 septembre 2023)
"Qui voudrait d'elle ?", "Le mec avait faim", "Elle fait sa victime" : la reine Camilla dénonce une agression sexuelle, les internautes sombrent dans le victim blaming et la misogynie crasse
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La reine Camilla a dénoncé une agression sexuelle, dont elle aurait été victime, adolescente. Un fait terrible qui a suscité, absurdement, la misogynie des internautes. Une démonstration horrifiante de victim blaming.
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C'est le journaliste Valentin Low qui met en mots cette prise de parole, détaille Madame Figaro, sur laquelle se serait appesantie la principale concernée, en 2008 : "Elle aurait été victime d’une tentative d’agression sexuelle. Elle était dans un train en direction de Paddington — elle avait environ 16 ou 17 ans — et un type a commencé à approcher sa main de plus en plus près. «J’ai fait ce que ma mère m’avait appris à faire. J’ai enlevé ma chaussure et je l’ai frappé aux testicules avec le talon.»,a-t-elle encore témoigné"
© Abaca, Finnbarr Webster/PA Wire (Le roi Charles III et la reine Camilla lors d'une visite au Barbara Hepworth Museum and Sculpture Garden à St Ives, en Cornouailles, le 13 juillet 2023)
"... l’adolescente était «suffisamment maîtresse d’elle-même lorsqu’ils sont arrivés à Paddington pour descendre du train, trouver un homme en uniforme et lui dire : “Cet homme vient de m’agresser”
© Abaca, Lisa Ferguson/PA Photos (Le roi Charles III et la reine Camilla lors d'une visite de la place du marché de Selkirk, Royaume-Uni, le 6 juillet 2023)
"Qui voudrait d'elle ?", "Le mec devait vraiment avoir faim", "Elle fait toujours sa victime", "Il n'y a que le train qui ne lui est pas passé dessus", "Ridicule", "Pourquoi sortir ça ?", "Comment va le train ?" Ca, c'est que l'on peut lire dans l'espace commentaires Instagram du magazine Paris Match. Les lecteurices de la revue ont réagi en abondance à ce témoignage.