Victoire du PSG face à l'Inter Milan : oui, les violences conjugales augmentent à chaque finale de foot, dénonce la rappeuse Théodora
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Victoire du PSG : oui, les violences conjugales augmentent à chaque finale de foot, dénonce cette célèbre rappeuse
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Theodora, la voix du mégatube Kongolese sous BBL, a dénoncé sur Instagram la manière dont les finales de foot sont étroitement liées aux violences conjugales, patriarcales et sexistes. Une alerte nécessaire de la part de la rappeuse. L'espace d'une story, Theodora délivre ce constat à sa jeune audience : les violences conjugales seraient en hausse à chaque soir de compétition sportive. C'est pour cela qu'elle a transmis dans cette story Instagram les numéros à connaître, comme le 39 19, "au cas où". Un message aussi rare que précieux de la part de cette artiste qui fédère autant les auditeurices de Skyrock que ceux de France Inter...
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Cette enquête de Libé le démontre : oui, qui dit soir de compétition sportive, comme une finale de foot (et celle de la Ligue des Champions ne fait pas exception) dit violences conjugales qui montent en flèche. Une étude britannique chiffrée et particulièrement glaçante, alarme le journal, précise données statistiques à l'appui que les violences conjugales "augmenteraient de 26 % lorsque l’équipe nationale anglaise joue, et de 38 % lorsqu’elle perd son match". Cependant, détaille Libé, "il n'y a guère d'équivalent français à cette étude".
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A cela, il faut ajouter cet état des lieux du Parisien, qui affirme que "les professionnels du secteur font le lien entre compétitions sportives et augmentation des violences contre les femmes, et plusieurs initiatives ont été prises pour ne pas laisser les victimes seules". Des données à considérer face à la victoire des joueurs du PSG.
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Et Le Parisien va jusqu'à relayer la voix d'une victime de violences : "Je peux confirmer que cela ne s’arrête pas aux frontières de l’Angleterre. Je n’ai malheureusement pas besoin d’étude pour le savoir. Les soirs où son équipe jouait, je savais que cela pouvait partir en vrille. Tout était prétexte pour m’insulter ou me frapper : une décision de l’arbitre qu’il remettait en cause, un but de l’adversaire… ". Un contrechamp tragique alors que beaucoup se focaliseront davantage sur l'émoi du capitaine Marquinhos.