Lilibet, la fille de Meghan Markle et du prince Harry a fêté ses quatre ans le 4 juin. Pour l'occasion, sa mère a publié une vidéo souvenir prise le jour de son accouchement sur son compte Instagram : on y voit le couple royal en train de danser dans une chambre d'hôpital.
Amusante, la publication fait beaucoup parler d'elle. Et voilà que la duchesse de Sussex est à nouveau victime de cyber-harcèlement.
A lire aussi : "Elle n'était pas censée être discrète ?" : Meghan Markle agace les internautes au concert de Beyoncé
Voir des membres de la famille royale britannique en train de twerker sur le titre Baby Mama, de MemeGasma, a en effet étonné plus d'un internaute sur les réseaux.
Meghan Markle a ironisé sur ce souvenir de fin de grossesse en écrivant en légende de la vidéo que sa fille avait dépassé d'une semaine la date d'accouchement prévue. "Lorsque la nourriture épicée, la marche et l'acupuncture n'ont pas fonctionné, il ne restait plus qu'une seule chose à faire", s'est amusée la duchesse.
En partageant ce moment d'intimité, elle ne pensait certainement pas devenir à nouveau la cible de violents reproches. Mais bingo : certains internautes et autres proches de la couronne britannique ont semble-t-il été offensés. La vidéo, relayée par de nombreux médias anglophones sur les réseaux, a reçu de vives critiques. A l'image de cet avis publié sur TikTok :
J'éprouve pour eux une gêne indirecte ! Ce n'est pas un comportement royal ! Kate et William n'auraient jamais fait preuve d'un tel manque de respect ! Ils sont tombés bien bas. Il y a un niveau d'étiquette qui doit être respecté.
A lire aussi : "La femme la plus détestée" : pourquoi Meghan Markle fait-elle (encore) scandale ?
C'est loin d'être la première fois que la duchesse de Sussex se retrouve au coeur des controverses. Ce qui lui vaut d'ailleurs le surnom de "la femme la plus détestée" outre-Atlantique (aux côtés d'Amber Heard). Cela dure depuis des années.
Ragots conjugaux, accusations d'entorses aux coutumes royales, reproches incessants sur son attitude et son rapport à "la famille" d'Angleterre, même émancipée de cette sphère, l'ex comédienne ne peut se libérer de ces gossips pour tabloïds. "Je suis l'une des personnes les plus victimes de harcèlement au monde !", avait-elle d'ailleurs déclaré lors d'une prise de parole à Santa Barbara le 2 octobre 2024. Et on ne peut s'empêcher de penser à l'impact délétère que ce cyber-harcèlement doit avoir son sa santé mentale...