Une indéniable victoire pour Blake Lively ?
Et surtout : les prémices d'un triomphe plus retentissant encore au tribunal ? Dans la longue lutte juridique qui l'oppose à Justin Baldoni, son partenaire et metteur en scène sur le film It Ends With Us, alias Jamais Plus, l'actrice et moitié de Ryan Reynolds a déjà obtenu une très légère satisfaction. Effectivement, face à Baldoni, qu'elle accuse de harcèlement sexuel, Lively a convaincu un juge...
Qui lui accordé une ordonnance de protection.
Mais ce n'est pas tout...
Une ordonnance de protection, à l'encontre d'un homme accusé de harcèlement sexuel, et d'attitudes inappropriées, durant le tournage de It Ends With Us, film qui traite des violences conjugales.
Voilà ce qu'est parvenue à obtenir Blake Lively, comme l'affirment aujourd'hui PEOPLE et E!News dans leurs pages. Ce à quoi s'oppose formellement l'équipe juridique de Baldoni, qui a intensément contesté la décision d'un juge à cet égard. Blake Lively peut voir là une réussite la concernant.
"La déposition fait partie de la phase de communication préalable de l'affaire Lively contre Baldoni. Le procès est prévu pour mars 2026 à New York", énonce PEOPLE.
Pour elle, c'est la preuve du bien fondé de ses déclarations. Cependant, de nombreuses polémiques entourent cette affaire hyper médiatisée. Par delà nombre de théories du complot, qui confèrent à l'actrice et productrice des intentions très nocives sans grands éléments concrets derrière, Baldoni a maintes fois opposé à Lively des documents sonores et vidéo censés démontrer que cette dernière "ment".
Comme une vidéo qui prouverait son consentement lors d'une scène de corps à corps (de danse très tactile) du film, ou des fichiers audio qui seraient en sa défaveur. L'interférence de Taylor Swift, grande amie de Blake Lively, dans la production de ce film, et l'évolution de cette affaire, ainsi que celle de Ryan Reynolds,, "époux de" mais aussi homme d'affaires surpuissant, a été plusieurs fois évoquée, et source d'autres controverses et allégations.
Pèse aujourd'hui dans la balance, de nouvelles accusations. Justin Baldoni est notamment accusé d'avoir organisé toute une opération de diffamation en ligne envers Lively, aboutissant à son cyber harcèlement. Une opération qui aurait été pensée par des professionnels de la communication.
Pendant ce temps, ce sont les exigences juridiques de Lively qui génèrent de virulentes réactions. Comme celle-ci, ardemment défendue par ses avocats : que toutes les personnes présentes à l'audience lors de ce fameux procès... soient identifiées à l'avance. Pour les opposants du camp Lively, c'est déjà un très grand nom.
"Suite à la requête, les avocats de Baldoni, 41 ans, se sont adressés à Liman dans une lettre datée du 13 juillet, écrivant que lui et son équipe juridique s'opposaient à la requête de Lively, arguant qu'elle utilisait son « statut de célébrité » pour dicter et contrôler la déposition « à un endroit de son choix »", assène à ce titre PEOPLE dans son compte rendu de ces tumultes juridiques.
A suivre, donc.