





Les accusations sont accablantes.
Une femme dénonce ce qu'elle aurait subie en compagnie de la star de foot Dimitri Payet, figure familière de l'Olympique de Marseille, et fustige des faits de violences sexuelles, entre autres. Dans son témoignage étayé s'énoncent effectivement de nombreuses formes d'humiliations, psychologiques, physiques... Les déclarations à l'encontre du footballeur français ont engendré le dépôt d'une plainte ainsi que l'ouverture d'une enquête.
Il faut dire que le faits présumés en question sont particulièrement atterrants.
Larissa Ferrari, ex relation du footballeur qui se trouve être la plaignante en question, est connue pour être une avocate brésilienne, et la jeune femme fustige dans cette plainte de nombreuses déclinaisons de "violences physique, morale, psychologique et sexuelle". Parmi lesquelles, des menaces, des humiliations, des "injonctions" à boire de l'urine, ou à lécher le sol...
Le footballeur, lui, a réagi...
Revenons-en cependant aux faits décrits.
Larissa Ferrari témoigne dans sa prise de parole d'une relation particulièrement toxique et violente où le sportif aurait "abusé de sa vulnérabilité pour obtenir des avantages sexuels", et en détaille les pratiques au sein de cette plainte remise aux autorités compétentes - la police civile de Rio de Janeiro en l'occurrence.
"Quand nous avons eu notre première dispute et il a commencé à me dire qu'il allait m'infliger des punitions... Il me demandait des preuves d'amour qui consistaient en des humiliations. J'ai enregistré des vidéos dans lesquelles je buvais mon urine, je buvais l'eau de la cuvette des toilettes, je léchais le sol", témoigne-t-elle ainsi dans sa plainte, où il est également question de violences physiques qui auraient été infligées par l'ancien international français à son égard.
Violences physiques qui impliqueraient notamment un contact entre le corps de la plaignante et les pieds de l'accusé - ce dernier lui aurait effectivement "marché dessus" et cela aurait laissé "des traces sur le corps de la victime', énonce le document juridique qui a été consulté par l'AFP. La plaignante épingle enfin une forme de traumatisme inhérent à des violences psychologiques.
Le footballeur quant à lui nie toutes formes de violences "non consenties" et a évoqué via son avocat une "forme de relation sadomasochiste consentie". En somme, il explique avoir vécu en compagnie de Larissa Ferrari des rapports basés sur le sadomasochisme et le fétichisme, lorsqu'il "a commencé à envoyer des vidéos intimes et à parler de sujets liés au sexe".
Boire de l'urine aurait fait office de pratique réciproque, et consentie, au sein de cette relation, défend le footballeur en niant les charges émises à son encontre par l'avocate brésilienne.
Le média spécialisé en brèves sportives Actu Foot relaie ses dires à ce sujet, lesquels ont sidéré les internautes : "L'ancien international français a également 𝗿𝗲́𝘃𝗲́𝗹𝗲́ 𝘀𝗼𝗻 𝗳𝗲́𝘁𝗶𝗰𝗵𝗶𝘀𝗺𝗲 𝗲𝘁 𝗿𝗲𝗰𝗼𝗻𝗻𝘂 𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝘀𝗲𝘅𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹’𝗮𝘃𝗼𝗰𝗮𝘁𝗲 𝗯𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗹𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲 𝗵𝗮𝗯𝗶𝗹𝗹𝗲́𝗲 𝗲𝗻 𝗺𝗮𝗿𝗶𝗲́𝗲. Toujours selon le joueur, 𝗹'𝗮𝘃𝗼𝗰𝗮𝘁𝗲 𝗹𝘂𝗶 𝗮𝘂𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗻𝗱𝗲́ "𝗱'𝘂𝗿𝗶𝗻𝗲𝗿" 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝘂𝗶 "𝗮̀ 𝗽𝗹𝘂𝘀𝗶𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀". En janvier 2025, Larissa Ferrari lui aurait envoyé "une vidéo dans laquelle elle buvait spontanément sa propre urine et mettait sa tête dans les toilettes".
"Toujours dans sa déclaration, Payet 𝗶𝗻𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗯𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹'𝘂𝗿𝗶𝗻𝗲 "𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘁 𝗰𝗼𝘂𝗿𝗮𝗻𝘁𝗲 𝗮𝘂 𝘀𝗲𝗶𝗻 𝗱𝘂 𝗰𝗼𝘂𝗽𝗹𝗲".