Pourquoi l'émission Netflix "Architecte du désir" fait rugir de plaisir le public

Publié le Lundi 25 Juillet 2022
Louise  Col
Par Louise Col Journaliste
11 photos
Lancer le diaporama
Sur la plateforme Netflix, l'émission "Architecte du désir" ("How To Build A Sex Room" en VO) cartonne. Un divertissement qui amuse, décomplexe et même émeut.
À lire aussi

C'est le nouveau divertissement sensationnel estampillé Netflix : Architecte du Désir. Le titre original est beaucoup plus explicite : How To Build A Sex Room (comprendre : "comment construire une chambre sexuelle"). Tout un programme en somme - forcément hot à souhait.

Mais qu'est-ce que c'est ? Il s'agit d'une émission mettant à l'honneur une architecte d'intérieur, fait pas si rare au sein d'une époque érigeant Marie Kondo en role-model. Petite singularité cependant : l'architecte en question, Melanie Rose, va s'exercer à imaginer des décors convenant le mieux aux fantasmes des couples à l'honneur. D'où l'intitulé de "sex room"... Un concept original qui fait rugir de plaisir le public.

Une émission "décomplexée et adorable"

L'air de rien, le programme Netflix, disponible sur la plateforme depuis début juillet, conjugue différents divertissements qui ont fait leurs preuves à la télévision niveau audiences : émission conjugale, divertissement en mode déco/architecture/mobilier, programme de sex-coaching un brin coquin...

Une équation qui fait des heureux et heureuses. Sur Twitter, les avis enthousiastes se multiplient. "Regarder le nouveau show Netflix était tellement amusant ! C'était vraiment agréable de voir le sexe / les fantasmes / les relations montrés d'une manière aussi détendue et agréable", "Honnêtement, le programme m'a émue, avec tous ces couples adorables", "C'est la plus appréciable des émissions qui parle de sexe", peut-on notamment lire.

Spectateurs et spectatrices apprécient à l'unisson plusieurs particularités de l'émission : la manière décomplexée dont sont traités les fantasmes des participant·e·s, et la sexualité en général, le caractère attachant mais surtout inclusif des couples mis en scène (queer, polyamoureux), l'inventivité des décors imaginés durant huit épisodes par la très bienveillante Melanie Rose. Ou comment chaque détail compte pour cultiver le désir.

Vous laisserez-vous tenter ?