Lindsay Lohan ouvre un nouveau chapitre de sa vie.
Disney star ayant connue - comme toutes ses consoeurs - une relative traversée du désert, marquée par des controverses, des scandales, et quelques éclats auteuristes - The Canyons, d'après Bret Easton Ellis, le roi de la provocation romanesque los angélienne - la gamine préférée de l'Amérique aux côtés de Britney Spears apparaît aujourd'hui métamorphosée.
Elle n'est plus la révélation de Mean Girls, mais elle n'est pas non plus une égérie trash balbutiante. Non, la Lindsay Lohan de 2025 revendique avant tout sa condition de mère de famille et se réconcilie avec ses premières oeuvres tout public. La preuve, elle tient le haut de l'affiche de Freaky Friday 2, nouvelle incursion 20 ans après le premier opus culte "dans la peau de ma mère". Jamie Lee Curtis l'accompagne, fidèle au poste, dans cette aventure qui ne nous rajeunit pas.
Mais confère à la supetstar un autre éclat. Comme en témoignent ces photos abondamment commentées sur ses réseaux sociaux...
Lindsay Lohan vit sa revanche.
Hier quasi "cancelled" par l'usine à rêves, jugée "décadente", has been, trop controversée, ringarde, aux antipodes de ses éclats des années 2000, rejetée par une industrie la considérant "périmée" à même pas 30 ans, la célébrité phénoménale de A nous quatre est parvenue à réconcilier Hollywood et sa persona.
Dans Freaky Friday 2, elle l'assène : icône d'une génération, la voilà de retour, n'en déplaisent aux mauvaises langues. Et ces photos viennent accompagner ce come back improbable. Elle partage effectivement quelques autoportraits qui suscitent la fièvre des fans... Blonde, en robe noire très épurée, lunettes noires sur le nez, elle a une allure de femme fatale et semble aux antipodes de la quarantaine, qu'elle tutoie cependant.
"Elle n'a jamais été aussi belle", "Icône", "La reine est de retour", commentent les millions de followers de "LL". Et ce n'est pas tout...
Dans le registre des commentaires plus salés cependant, d'aucuns fustigent son usage apparent - mais aux détails méconnus - de la chirurgie esthétique, d'autres comparent ces images à The Substance, la farce horrifico féministe de la frenchie Coralie Fargeat tournant justement en dérision ces pratiques médicales (en mettant en scène une Demi Moore sexa en prises avec son double de 40 ans sa cadette), quelques fans à la prose piquante exigent même de connaître l'adresse de son médecin...
Bref, vous avez volontiers l'idée. Qui aime bien châtie bien, pourrait-on dire...
Tant le déferlement de commentaires échappe de justesse au botox shaming, ce body shaming destiné aux célébrités, souvent féminines, suspectées d'avoir eu recours au bistouri. Là, c'est plutôt des félicitations et des réactions admiratives qui accompagnent le retour en grâce de la superstar.