"Ca reste une meuf aux gros seins" : Sydney Sweeney refuse d'être un sex symbol dans ce trailer incroyable, mais subit le sexisme
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"Ca reste une meuf aux gros seins", "Elle ne sait pas jouer", "Enlaidie pour rien" : Sydney Sweeney refuse d'être un sex symbol sur ces images inédites, mais subit le sexisme
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Sydney Sweeney s'est métamorphosée pour ce rôle qui pourrait lui valoir un Oscar. Elle est impressionnante dans ce trailer qui vient tout juste de nous être dévoilé. Mais les haters sont de retour.
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Ca y est. Le trailer de Christy, le biopic de la boxeuse professionnelle Christy Martin, est en ligne. Il est à découvrir en bas de cet article. Christy Martin, sportive à la trajectoire romanesque, sportive lesbienne, icône badass, en quête de liberté et de coups à rendre, victime de violences patriarcales, par-delà les ring. Christy Martin, aujourd'hui, c'est donc Sydney Sweeney, métamorphosée dans cette bande annone il faut le dire, hallucinante.
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La comédienne a dû prendre près de quinze kilos, s'entraîner intensément l'espace de sessions sportives éprouvantes, changer de look du tout au tout, dire au dieu au makeup et à sa blondeur "de bimbo", comme l'énoncent ses nombreux haters. Dire adieu, aussi, à ce qui lui colle aux basques : ses oripeaux encombrants de sex symbol, d'icône hyper sexualisée, constamment ramenée à sa poitrine, jugée "trop grosse".
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"Ca reste une meuf aux gros seins", "Elle ne sait pas jouer", "Enlaidie pour rien", commentent néanmoins les détracteurs, furibards, sous ces images qui témoignent d'une transformation.
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Sydney Sweeney, victime de sexisme jusqu'à ce rôle qui pourrait lui valoir un Oscar ?
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Accusée d'être une "bimbo" ou de se jouer d'une "hyper sexualisation", de ses pubs controversées à ses tapis rouges, Sydney Sweeney fait l'objet de vives critiques. Même quand elle s'émancipe soigneusement de son statut de sex symbol. Comme sur ces images ci-dessous, où elle est méconnaissable, mais surtout, d'une intensité certaine. Ce n'est pas la première fois. Dans un film injustement passé inaperçu, Reality, l'actrice refusait déjà tout glamour, toute sexualisation, apparaissant d'une sobriété remarquable, livrant un jeu épuré, subtil, nuancé. Et dans Christy, si son jeu se fait plus spectaculaire, plus Oscarisable, il impressionne également. Mais pas ses haters...
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