Photos : "Le féminisme va nous rendre malheureuses, on est pas faites pour être des hommes", affirmait Brigitte Bardot sur ces images où elle invite les femmes à "prendre soin de leur maison"

"Le féminisme va rendre les femmes malheureuses, on est pas faites pour être des hommes, des Suffragettes", affirmait Brigitte Bardot sur ces images controversées où elle invite les femmes à "prendre soin de leur maison"

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"Le féminisme va rendre les femmes malheureuses, on est pas faites pour être des hommes", affirmait Brigitte Bardot sur ces images controversées

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Actrice "iconique" plusieurs fois condamnée pour injures raciales, Brigitte Bardot s'exprimait sur son rapport ambiguë au féminisme dans cette interview précieuse. Et forcément plutôt controversée.

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C'est un échange intéressant que nous propose la chaîne Youtube de l'INA. On y voit Brigitte Bardot, la star de Barbarella et Le Mépris, qui vient de nous quitter ce 28 décembre 2025, ouvrir la voix concernant ses convictions féministes. Considérée comme une figure importante de la fameuse et tant idéalisée "libération sexuelle" (un mythe qui a surtout joué en faveur des hommes), l'interprète a beaucoup compté pour l'émancipation au féminin, avant de se dédier aux droits des animaux.

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C'est une interview forcément très d'époque. Qui démontre surtout ce à quoi a dû trop souvent se confronter Brigitte Bardot, autrement dit le ton très paternaliste des journalistes, et des hommes en particulier.

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Cela étant, ce qu'elle exprime témoigne d'une certaine ambivalence : "Je crois qu'à trop vouloir rechercher les mêmes droits que les hommes, les femmes vont être malheureuses", y dit-elle. "Cela donne forcément un déséquilibre car une femme n'est pas faite pour ça. On ne peut pas vivre comme un homme. Moi je suis l'image-même d'une femme, je ne suis pas une Suffragette, je suis faible, vulnérable, je ne suis pas un homme". Comprendre, les féministes sont des hommes, ce ne sont pas des femmes. Et quand l'une de ses interlocutrices lui dit qu'elle vit comme un homme, riche, libre, elle réfute ces assertions et célèbre sa "féminité".