Blake Lively avance des allégations accablantes de harcèlement sexuel à l'encontre du cinéaste et comédien Justin Baldoni, qui la côtoie dans le film Jamais plus, attitudes et gestes inappropriés qui auraient eu lieu sur le tournage dudit film. Mais ce n'est pas tout...
L'actrice de Gossip Girl accuse également Justin Baldoni d'avoir mené toute une campagne de cyber harcèlement à son encontre, en faisant appel à des professionnels de ce genre d'opération en ligne, afin de la diffamer généreusement et de liguer l'opinion publique contre elle. Et la comédienne accuse également Baldoni d'avoir engendré une "détresse émotionnelle" très forte en elle, inhérente à sa santé psychologique.
Seulement voilà, un nouveau chapitre s'ouvre dans cette grande affaire, alors que Blake Lively vient de décider par le biais de ses avocats... De retirer deux de ses plaintes.
Et pas n'importe lesquelles.
Blake Lively a décidé de retirer deux de ses plaintes. C'est un fait.
Cependant, il n'est nullement question des charges de harcèlement sexuel portées par l'actrice à l'encontre de Justin Baldoni...
Concernant ces allégations, les plaintes demeurent encore d'actualité. Une précision très importante à soulever car elle n'est pas forcément considérée par les détracteurs virulents de l'actrice.
Non, relate PEOPLE, Blake Lively a juste demandé auprès du tribunal de New York le retrait "sans préjudice" de deux de ses plaintes relatives à "l'infliction de détresse émotionnelle", plaintes déposées contre le réalisateur. Deux plaintes qui ont précisément trait à deux motifs, donc : détresse émotionnelle intentionnelle et négligence.
La raison ? La comédienne aurait en vérité refusé de présenter au juge "une ordonnance" l'obligeant à identifier clairement "ses prestataires de soins médicaux et de santé mentale", en somme, un document médical officiel qui attesterait noir sur blanc d'une "détresse émotionnelle" vécue, à l'unisson de ses allégations envers Justin Baldoni.
Les avocats du camp Lively en attestent : il s'agit d'une procédure qui n'a rien d'anormale dans le cadre d'une telle affaire juridique, où de multiples plaintes sont invoquées. Cependant, les haters de Blake Lively sont de sortie.. Et sans lire aucunement ces détails, en tirent leurs conclusions hâtives.
"Elle mentait donc dès le début", "La détresse émotionnelle c'est plutôt du côté de Justin Baldoni qu'elle se trouve aujourd'hui", "Donc cette femme est une menteuse", "Quelle honte", "Cette femme décrédibilise toutes les victimes de violences sexuelles", "Sa carrière est brisée", "Quelle perte de temps que toute cette affaire", lit-on sur les réseaux sociaux.
Bonne victime, mauvaise victime... Les stéréotypes sexistes se multiplient dans le cadre de l'affaire Blake Lively, source continue de scandales et de controverses qui ouvrent la voix à la contradiction, certes, mais trop souvent, il faut l'avouer, au sexisme le plus décomplexé. Et aux contre vérités néfastes.