Saluée et acclamée pour son dernier rôle dans The Substance, Demi Moore continue d’épater son public. Mais avant d’incarner le personnage d’Elisabeth Sparkle, l'actrice a aussi brillé dans d’autres rôles et d’autres films… Dont le (très) célèbre Charlie’s Angels : Les Anges se déchaînent. Sorti en 2003, il raconte la suite des aventures d’Alex, Dylan et Natalie, héroïnes du premier film Charlie et ses drôles de dames.
Un film tout spécial pour Demi Moore, puisqu’il s’agissait de son grand retour après une pause consacrée à ses trois filles : Rumer, Tallulah et Scout. Ce sont d’ailleurs elles qui l'ont encouragée à accepter le rôle de Madison Lee, une ancienne Ange. "Elles m'ont dit : Tu dois faire ce film. On adore le premier. Tu dois le faire” a-t-elle partagé aux côtés de Drew Barrymore, co-star du film.
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Alors âgée de 40 ans, Demi Moore raconte avoir eu une demande toute spéciale auprès des réalisateurs : "Tout ce dont je me souviens, c'est d'avoir supplié qu'on ne filme pas mes fesses. Je ne sais pas pourquoi c'était mon obsession." Une demande particulière, motivée par un contexte particulier : l’actrice n’a eu que trois semaines pour se préparer à la scène emblématique de la plage : “Je n’ai pas eu le temps de réfléchir à ce à quoi je ressemblais. Je pense que je n’étais pas prête pour les réactions que ça a entraîné.” Avec son petit bikini noir, sa planche de surf sous le bras, Demi Moore est devenue un vrai sex-symbol !
Un délai restreint, qui n’a pas empêché Demi Moore d’impressionner ses collègues (et le monde entier) avec sa forme physique. Drew Barrymore a d'ailleurs déclaré : "Personne ne peut obtenir ce résultat en trois semaines. Tu étais clairement prête."
Prête ou non, ce rôle a permis à Demi Moore de se rendre compte de la pression ressentie en tant que femme de 40 ans à Hollywood. Une pression, qui comme elle le souligne dans l’interview, met en lumière les attentes sociétales envers les femmes de son âge : "Je n'avais aucune idée de l'amplification, ironiquement, liée à mon âge.”
Dernièrement, Demi Moore n’est pas la seule artiste à dénoncer la pression de l’âge : "Si j'étais un homme, ce serait plus facile" a dénoncé Andie Macdowell, 66 ans, face à l'âgisme d'Hollywood
